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« Il s’appelle Daniel Rabourdin. Il est réalisateur, franco-américain. Il vit à Los Angeles mais n’a jamais oublié ses racines françaises. C’est de passage en France, il y a quelques années, qu’il tombe sur cette histoire volontairement cachée par l’Etat et les gouvernements qui se succèdent : l’histoire d’une rébellion, mais surtout, l’histoire d’un massacre de grande dimension. Le massacre de plus de 150.000 Français, des paysans, des ouvriers. Ils étaient Vendéens. Mais c’était aussi des Français résidant en Bretagne, dans les régions de Lyon, de Marseille et de Paris.
La Révolution, une gigantesque manipulation
En 1789, lorsqu’elle éclate, la révolution française, qui depuis longtemps était fomentée dans les loges, ne met en œuvre que quelques centaines de personnes, des aristocrates, des intellectuels, des commerçants enrichis. L’idée ? Arracher le pouvoir à la monarchie pour l’accaparer, tout en faisant croire que les droits du peuple étaient bafoués. Le peuple ne se rendit pas compte qu’il allait être manipulé. Mais en Bretagne, en Vendée, une insurrection se leva.
Une révolte paysanne … avant tout
Parce que les Vendéens refusèrent le pouvoir totalitaire qui se mettait en place, ils décidèrent de se révolter et de défendre leurs acquis. Ils se révoltèrent surtout pour défendre la monarchie et la Foi catholique qui était la leur. La Convention ne l’entendit pas ainsi. En 1793, Robespierre et ses amis, les Turreau, Kléber, Westermann et Carrier mirent en place un vaste plan d’extermination de la population. Un génocide sera commis … au nom de la justice sociale.
« La rébellion cachée », un film à la mémoire des martyrs du génocide vendéen
Dans ce film-documentaire d’une heure et quart, Daniel Rabourdin met en évidence le coup d’Etat que fut la révolution française, le martyr vécu par cette population de France et l’héroïsme de ces paysans vendéens. Pour appuyer son document, le réalisateur s’est notamment approché de Reynald Secher, grand spécialiste en France des guerres de Vendée – il a écrit plusieurs ouvrages sur ce thème et notamment « Du génocide au mémoricide ». Il s’est également entretenu avec Stéphane Courtois, historien et universitaire français. Loin des budgets pharaoniques du cinéma hollywoodien, « La rébellion cachée » est un film à budget réduit. Il n’en reste pas moins un document réalisé avec une grande finesse, émouvant et courageux, à l’heure où plus de 200 ans après la révolution française, le déni de mémoire est toujours aussi criant dans notre pays.
Depuis 6 mois, boudé par les médias, Daniel Rabourdin fait le tour de France des salles indépendantes pour promouvoir son film.
Armel Joubert des Ouches pour Reinformation.tv
Les vendéens ne refusèrent pas le pouvoir totalitaire qui se mettait en place, non, ils refusèrent surtout la levée en masse de 300000 hommes. Levée en masse qu’imposa une guerre à laquelle Robespierre s’était toujours opposée. Ce qui ne fut pas le cas du roi de France qui vota la guerre en 1792 dans l’optique de recouvrer son trône. Il a joué sa carte… et il a perdu !
Carrier, pour ne parler que de lui, ne fut pas l’ami de Robespierre. Ce Carrier (tortionnaire de Nantes) fut justement démis de ses fonctions en raison de ses agissements. Il fut l’un des représentants en mission qui fit crier à la Convention, au 9 Thermidor, « à bas le tyran » ! Le « tyran » fut guillotiné, au même titre que Louis Capet, mais pas la République… Réfléchissez-y !
Quant au génocide, si génocide il y eu (il aurait fallu que le grand-père de Clémenceau en fut la victime), il ne fut certainement pas commis au nom de la justice sociale. De la défense de patrie éventuellement ! Les curés de campagnes du bocage vendéens qui vivaient de la portion congrue avait, à mes yeux, un sens de la justice sociale (non seulement divine) bien plus aiguisé et respectable que l’auteur de cet article. A le lire c’est l’union des droites… en marche !