« Le sentiment d’insécurité, c’est de l’ordre du fantasme » : la semaine dernière, le monstrueux ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, s’est surpassé, dans un entretien.
Alors que de spectaculaires crimes ont émaillé l’été (et que les chiffres officiels témoignent d’une explosion du nombre de meurtres – sans préciser bien sûr que c’est lié à l’immigration), ce gauchiste a défendu sa vision bien particulière de l’état de la violence en France.
Quelques jours après, un homme assis tranquillement à la gare du Nord se faisait égorger :
Évidemment, l’égorgement est une façon de tuer que les Français n’utilisent pas entre eux, et qui se pratique de plus en plus fréquemment depuis quelques décennies, désignant ainsi l’origine du phénomène.
On notera que les gros médias, dans la foulée de cette attaque, ont décrit l’assaillant comme « de type européen ». Dans ce cas-là et seulement celui-là, on peut donner des informations d’ordre ethnique. Bon, manque de chance pour eux, c’est un Afghan.
Quoiqu’il en soit – et c’est un aboutissement de la logique du Régime –, alors que, comment rarement dans leur histoire récente, les Français souffrent de la criminalité, que les femmes n’osent plus sortir le soir dans de nombreuses villes, que des gamins vont à l’école la peur au ventre, que des jeunes de 20 ans se font massacrer et des filles violées parce que français, le ministre de la « Justice » nie cette souffrance et raille la crainte des Français. Peut-on mépriser plus ouvertement les victimes ? Et qu’attendre de la « justice » républicaine déjà réputée pour sa nullité et sa partialité xenolâtre ?