Au delà de la soupe politicienne et du partage de gâteau républicain, ces élections municipales envoient des signaux plutôt réjouissants :
– la sévère gifle que prend le parti socialiste, payant l’impopularité du gouvernement et le rejet de sa politique (incapacité de régler des problèmes économiques et sociaux, fiscalisme croissant, politique morale délirante et brutale…)
– une abstention record (35,9 % des inscrits), plus forte à chaque consultation, qui signifie bien le rejet et le dégoût d’une partie grandissante de la population envers le Système politicien. C’est toujours une base de travail qui s’élargit, pour les révolutionnaires…
– la poussée, la percée même, du FN et de listes nationalistes indépendantes, qui traduit globalement un rejet croissant du mondialisme, de l’invasion et de l’UMPS.