En pleine santé, elle se fait euthanasier parce que « vieillir, ce n’est pas amusant »

 

On y arrive. Une logique infernale se déroule sous nos yeux.

Sous prétexte de pitié pour les malades « en fin de vie », et après avoir mis en place l’immorale euthanasie, la société en vient à à tuer les personnes qui le veulent à un moment donné, ou des personnes qui ne donnent même pas leur accord (cas V. Lambert).

Nous apprenons par exemple qu’ainsi, qu’au Royaume-Uni, une dame âgée de 75 ans a pris la décision de mettre fin à ses jours en recourant à l’euthanasie, dans une clinique de Bâle, en Suisse, où cette pratique est autorisée.

Gill Pharaoh, infirmière à la retraite, a pourtant encore toute sa tête et ne souffre « que de quelques rhumatismes ». C’est une grand-mère coquette, cheveux blancs et robe fleurie. Mais ainsi qu’elle l’explique au Sunday Times, quelques jours avant sa mort :

« Je veux mourir en ayant toute ma tête et en étant capable de me débrouiller seule. Je ne veux pas être un poids pour les gens que j’aime autour de moi. »

« Alors Gill a tout pris en main » comme nous le relate Metronews. « Elle a préparé elle-même ses propres funérailles et écrit ses adieux. « J’ai mis de l’ordre dans ma vie et, j’espère, réussi à m’effacer aussi discrètement que possible. J’ai soigné des gens vieux toute ma vie, je me suis toujours dit que je ne deviendrais jamais vieille. Vieillir, ce n’est pas amusant« , confie-t-elle encore. »

« Lors de sa dernière soirée, elle a dîné avec son mari, qui l’accompagne depuis vingt-cinq ans. La vieille dame est bien consciente que ni son époux ni ses enfants ne souhaitent qu’elle mette fin à ses jours. Mais elle ajoute qu’ils comprennent sa décision, et la soutiennent avec amour. « Ma vie a été bien remplie. Je suis prête à mourir, maintenant », conclut Gill, qui n’est pas la seule à avoir porté son choix jusqu’au bout. Environ 250 Britanniques se sont rendus dans les cliniques suisses pour recourir à une euthanasie, depuis 2003. »

En réalité, sous le terme d’« euthanasie », il s’agit bien de suicide et d’homicide.

En fait, ce sont les conséquences (mot plus exact que les « dérives ») des lois concernant l’euthanasie qui se déploient petit à petit, ça et là en Europe.
Cela avait bien sûr été prévu par notre camp et ces prédictions avaient été qualifiées d’exagérations et de craintes infondées, comme d’habitude, par les partisans de la culture de mort.