Emmanuel Macron, en visite en Slovaquie, où il essaye de fissurer le « groupe de Visegrad » (4 pays de tendance invaso-sceptiques), dénonce à nouveau le nationalisme.
Mais cette fois, il s’en prend à ses compatriotes (qualifiant au passage abusivement – hélas – le Front national d’être nationaliste).
Voilà un président qui respecte le choix de millions de Français, un président qui rassemble et n’incite pas à la haine dans son pays… (ironie)