Mercredi soir, l’occupant était interrogé par deux journalistes particulièrement obséquieux sur LCI, dans le cadre d’une entrée en campagne sans le dire.
Macron s’est mis en avant et s’est félicité toute honte bue de son pitoyable quinquennat, aidé par deux journalistes d’une rare complaisance, eux qui savent se montrer si odieux avec les personnalités pas assez de gauche. Ici ils se sont contenté de poser les sujets, sans interruption, sans contradiction.
Or, voici le bilan :
« De Macron il restera les manifestants éborgnés, Notre-Dame en feu, les CRS matraquant des pompiers, le bradage des industries clés du pays, les vieux qui meurent seuls sans soin et le suicide des enfants, les lois liberticides et des travestis dansant sur le perron de l’Elysée. »
(source L. Ozon)
« Auto-promotion, antiracisme et injections pour tous, Macron nous assomme mais ne nous apprend rien !
Les deux journalistes avaient promis une épreuve de vérité, Emmanuel Macron a claironné qu’il souhaitait continuer à bousculer le système, et au final, que reste-t-il de ces deux très longues heures d’autosatisfaction et de séduction lourde ?
La même mièvrerie antiraciste, la même obsession de la pseudo-pandémie qui justifie toutes les restrictions de libertés, la même – et très gênante – fascination du président pour lui-même, mais surtout : absolument aucune perspective offerte aux Français à part des propos de comptoir du type « c’est dur, il va falloir faire face ». C’est le niveau zéro, c’est indigne d’un chef d’Etat, mais cela ne nous surprend pas.
En guise d’épreuve de vérité, nous avons vu un gigantesque clip de campagne d’Emmanuel Macron.
Le président prétend qu’il bouscule le système ? Nous constatons au contraire qu’il incarne parfaitement le système : repentance, ethnomasochisme, VRP de la vaccination pour tous (enfants compris), etc., c’est la foire au conformisme gaucho-sanitaire.
Le prochain et seul geste barrière à appliquer, c’est d’empêcher la Macronie de continuer à se prendre pour la France, c’est de les foutre tous dehors au mois d’avril. »
(source Bruno Hirout)