L’« art » contemporain de grandes dimensions a encore frappé. Cette fois, il s’est abattu sur la capitale, et plus précisément sur le célèbre Arc de Triomphe, qui est, il faut le rappeler, un monument aux morts.
Une idée signée « Christo », « célèbre artiste-plasticien » paraît-il, décédé le 31 mai 2020 à l’âge de 84 ans. Malgré sa mort, ses proches avaient décidé de maintenir son dernier projet, ou plutôt sa dernière farce.
Les « officiels » qui s’émouvaient à l’extrême de 2-3 graffitis pendant une manifestation des Gilets jaunes ne trouvent ici rien à redire.
25 000 m² de polypropylène ont été disposés sur le bâtiment. Et l’écologie, dont se targue abusivement le maire fou Hidalgo pour pourrir la vie des automobilistes ?
Wikipedia nous dit, à propos de cette résine thermoplastique, que « sa production en masse est source d’impacts environnementaux et de consommation de pétrole, ainsi que d’émission de gaz à effet de serre. Son impression ou certains additifs (fibres, ignifugeants — les métaux lourds sont interdits depuis quelques années) peuvent rendre son recyclage difficile ou impossible de manière rentable. »
En tout cas, ce spectacle stupide, dispendieux et assez laid reflète bien la folie de l’époque. Au moins il n’y a pas d’obscénité, cette fois.