Le mouvement « antiraciste » (comprendre antiblanc) qui s’agite actuellement aux Etats-Unis sous des prétextes fallacieux entend poursuivre son travail d’épuration historique, quitte à tordre, comme d’habitude, une réalité un tout petit peu plus nuancée que ce qui est diffusé.
« [Ce samedi 5 juin, à Richmond (Virginie),] la statue de Williams Wickham a été dégradée et renversée. Une corde a même été nouée autour du cou de la représentation de ce général mort à la fin du XIXe siècle. Le visage et le corps barbouillés de peinture donnaient au bronze un faux air cadavérique. On rapporte qu’un manifestant a uriné sur le monument, achevant de le souiller, avant de s’enfuir. » (source)
Toujours à Richmond, l’ancienne capitale des États confédérés, la grande statue du général Robert Lee (chef des armées sudistes, qui était personnellement défavorable à l’esclavage) a été la cible de graffitis grossiers. Le gouverneur – de gauche – de cet État a annoncé que la statue serait déboulonnée. La précédente vague de « déboulonnages » avait surtout sévit au Nord, cette fois rien ne semble devoir échapper à ces activistes…
« Richmond n’est pas la seule ville concernée et, à travers le pays, plusieurs statues ont subi le même sort que celle de Williams Wickham. Le bronze baptisé Appomattox, dans la ville d’Alexandria où fut signée la reddition des États du sud, a été retirée par ses propriétaires, pour prévenir d’une éventuelle dégradation. Dans l’Alabama, la statue de l’amiral sudiste Raphael Semmes a été déboulonnée. Une autre, du général Lee, a été détruite par des manifestants.
Autre symbole visés ces derniers jours : le drapeau de guerre confédéré. » (source)
C’est l’occasion de (re)proposer une émission de réinformation sur le thème de la Guerre de Sécession :
L’invité de cette émission était Alain SANDERS, journaliste, écrivain. On peut trouver ses ouvrages ici, notamment La désinformation autour de la guerre de Sécession et une biographie de Robert Lee.
Autres publications évoquées :
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- Le livres la Désinformation autour de l’esclavage d’Arnaud Raffard de Brienne et le Blanc soleil des vaincus de Dominique Venner.