En juin dernier, cette fillette était retrouvée pendue dans sa chambre, ne supportant plus d’être harcelée à l’école (à Herblay, département envahi du Val d’Oise) par certains élèves et par une professeur…
Les médias ne le diront pas mais c’est l’horrible résultat du cocktail que subit la France : pourrissement des mœurs et « diversité ».
« Marie et Sébastien [ses parents] déplorent « l’inertie » de l’établissement et des services de l’Education nationale. « Rien que sur les deux agressions physiques qu’Evaëlle a subies, il aurait dû se passer quelque chose », souligne son père. (…) C’est à cette époque que ses parents portent plainte contre trois élèves. Ils découvrent alors l’ampleur des brimades qu’elle subit. Ils déposent une seconde plainte, après son décès le 22 juin, cette fois contre une professeur. Mais pendant que les enquêteurs multiplient les auditions, rien n’aurait bougé du côté de l’Education nationale.(…)
Ils mettent également en cause l’absence de réaction vis-à-vis des élèves soupçonnés d’avoir harcelé Evaëlle. « La direction n’a rien fait ! » fulmine Marie. (…)
Selon eux, cette absence de réaction est interprétée comme un encouragement par les élèves harceleurs. « L’élève qui était le plus virulent continue cette année. Il harcèle une des amies d’Evaëlle », assure-t-elle. » (Le Parisien)
Quotidiennement harcelée par une prof et des élèves, Evaëlle s’est suicidée à seulement 11 ans. Sa mère raconte le calvaire qu’a vécu sa fille et réclame justice face aux manquements du corps enseignant. pic.twitter.com/BNpcfCvbRk
— Konbini news (@konbininews) December 17, 2019