Pour certaines profanations de tombes, comme celle de ce militant breton classé à l’« extrême-droite », la gendarmerie n’arrive à aucun résultat.
En revanche, pour une injure homophobe par écrit par exemple, il y a parfois des relevés d’ADN et d’énormes moyens déployés…
En avril dernier, la tombe de l’abbé Yann-Vari Perrot avait été profanée.
Réveillant soudainement des passions irraisonnées que l’on croyait appartenir à l’Histoire, cette profanation avait soulevé une juste indignation générale.
Des inscriptions avaient été apposées sur la tombe dont la croix avait été mise à terre, ainsi que sur les marches et les murs de la chapelle de Notre-Dame de Koat Keo.
Un peu plus loin, un bâtiment non religieux avait lui aussi été touché. C’est lors de la traditionnelle cérémonie assurée le lundi de Pâques que cette profanation avait été découverte. Les propriétaires de la tombe, le diocèse de Quimper & Léon et les propriétaires d’un bâtiment attenant avaient porté plainte, mais nous avons appris il y a quelques jours que l’enquête menée par la gendarmerie n’ayant pas abouti, cette affaire est classée sans suite.
Source : Ar Gedour, via Riposte catholique