En effet, le pauvre aurait souffert de problèmes psychologiques aggravés par sa consommation de drogue…
Même s’il avait déjà été condamné au moins 4 fois en correctionnelle auparavant (sans qu’on diagnostique de quelconques problèmes psychologiques…), pour la République il n’est donc pas responsable d’avoir massacré sauvagement quatre personnes, Paulette, Marie-Thérèse, Bernard et Renée, « au hasard » (le hasard dans ces cas-là frappe uniquement les Français, c’est toujours surprenant).
« Auteur d’un périple sanglant au cours duquel il a tué sauvagement quatre personnes dans la nuit du 25 au 26 décembre 2016, dans la Drôme et le Vaucluse, Fissenou Sacko, 26 ans, ne sera jamais jugé par une cour d’assises. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Grenoble vient en effet de déclarer « irresponsable pénalement » l’auteur de « la tuerie de Noël » car celui-ci souffrait « de troubles psychiatriques ayant aboli entièrement son discernement » » (source)
Rappel des faits :
« Né le 11 décembre 1993, Fissenou Sacko, qui a notamment été scolarisé au lycée Roberval de Breuil-le-Vert (Oise) habitait chez ses parents, dans le quartier Saint-Jean à Beauvais.
Le 25 décembre 2016, il prend le train depuis l’Oise. Il est débarqué d’un TGV en gare de Valence. Sa folie meurtrière va alors commencé. En quelques heures, il tue une dame de 80 ans à Chabeuil, puis, quelques kilomètres plus loin, il retire la vie à un couple de retraité de 75 ans. Peu après, il blesse grièvement le gérant d’un supermarché au couteau, puis tue à coups de pierre une personne de 65 ans. Pour les familles des victimes, les conclusions des expertises sont un coup dur : « Elles souhaitaient avoir un procès », commente Me Alain Fort. L’avocat souligne que la psychose chronique schizophrénique, dont souffre le Beauvaisien, a été aggravée par sa consommation quotidienne de drogue. « Car ce jeune homme s’est volontairement drogué, il savait que cela provoquait chez lui de la violence », rapporte l’avocat.
Reste que du côté des familles des victimes, on n’en restera pas là. Selon elle, des responsables « devront répondre de leurs erreurs ». Une plainte va être déposée contre l’État. Fissenou Sacko avait été débarqué du TGV parce qu’il avait agressé des passagers. Il avait été interpellé avant d’être hospitalisé dans un hôpital psychiatrique. Il avait quitté l’établissement sans difficulté quelques heures plus tard [le TGV avait donc dû être arrêté à cause de ses agressions mais il n’avait PAS été mis en garde à vue. – NDCI]. » (Lu dans le Courrier Picard)
Rappelons donc que cet immigré avait été condamné précédemment à au moins quatre reprises en correctionnelle à Beauvais et Paris pour des faits de violence, rébellion, outrages, détention et trafic de stupéfiants…
Avant les meurtres, aucun problème psy ne lui avait été diagnostiqué…
Dans combien de temps sera-t-il à nouveau libre pour pouvoir recommencer ?!