Intégrer des réfugiés, des migrants qui ont donc obtenu le droit d’asile, en les aidant à apprendre le français et surtout à trouver un travail : c’est l’objectif de l’accord-cadre signé ce mardi 6 février par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, avec la Fédération nationale des travaux publics. L’initiative, baptisée « Hope », a été lancée par la préfecture d’Ile-de-France. Elle concerne essentiellement des réfugiés Afghans, Soudanais et Erythréens, qui ont pu intégrer une formation en alternance.
Il ne se plaint que d’une chose : la neige qui tombe sur son chantier. Pour le reste, Mahamad Alhass Alhassan, réfugié soudanais du Darfour arrivé en France il y a quatre ans, sait qu’il a de la chance. L’année dernière, plus de 100 000 demandes d’asile ont été déposées en France, 43 000 ont été accordées.
Pour dissimuler les intentions coupables il faut avant toute chose victimiser les « nouveaux arrivants ». D’où l’adoption du terme de « migrants »et tout le « folklore » qui entoure ces populations nouvelles. En effet où est le réel besoin , comment justifier l’intégration de millions de personnes dans un pays gangrèné par le chômage de masse depuis des décennies.Comment justifier que ces « migrants » soient , en matière d’emploi,mis en concurrence avec les populations de souche déjà fortement fragilisées ( si si elles existent souvenez vous de Valls et ses « blancos »). « L’intégration » n’a pas d’autre but que la substitution de populations , ce que l’on peut qualifier d’ethnocide.