« Petite prise douanière du matin, à Roissy.
En dépit du « confinement », des « mesures sanitaires » et des frontières soi-disant « fermées », le trafic de viande de brousse continue, et se porte bien. Par le seul aéroport de Roissy, on estime que plusieurs tonnes de cette viande de contrebande transitent chaque semaine au fond des bagages de voyageurs.
Ces viandes d’espèces souvent protégées, évidemment impropres à la consommation, sont en général revendues sur les marchés africains de Château Rouge et Château d’Eau, au nord de Paris. Le singe se négocie 50 euros pièce. La patte de dragon du Komodo 70 euros. Et le pangolin 75 euros.
Les autres, respectez les gestes d’hygiène, interdiction d’ouvrir vos restaurants, etc. »
Source L. Obertone