Il y a quelques semaines, un tout jeune homme – Samuel Dufour – a été scandaleusement condamné dans la pitoyable « affaire Méric » : parce qu’il était « d’extrême-droite », il a écopé de 7 ans de prison ferme pour avoir été présent dans la rixe provoquée par des voyous « antifas », et bien que la cour ait reconnu qu’il n’avait pas touché au fragile – mais belliqueux – Clément Méric.
A côté de ça, la justice rouge française s’est penché l’année dernière (nous n’en avions pas parlé, c’est pourquoi nous l’évoquons maintenant) sur le cas d’un homme de 42 ans, accusé d’avoir violé à plusieurs reprises trois petits garçons entre 2015 et 2016, parfois ensemble, en sachant en plus être atteint du sida…
L’horreur a l’état brut.
« Les faits se déroulent dans l’entourage amical du pédophile, à Casterlsarrasin dans le département du Tarn-et-Garonne, dont deux enfants d’une même famille âgés de 7 et 11 ans, ainsi qu’un troisième petit garçon de 9 ans. Les débats à la barre détaillent les pratiques criminelles et l’environnement sordide dans lesquels ces viols ont eu lieu.
Les enfants se rendaient en effet souvent chez « tonton Yannick » qui les accueillaient, sans que les parents ne se doutent de quoi que ce soit. Et sûrement pas de viols répétés par un homme se sachant séropositif et n’ayant pas utilisé de préservatif pour accomplir l’inavouable.
C’est la mère des deux enfants qui découvrira finalement la scène d’horreur en surprenant le satyre au lit avec ses deux enfants nus. […]
Yannick Pefourque reconnaîtra les faits parlant de « pulsions ». Une défense mise à mal au tribunal par l’accusation qui détaillera la vie sentimentale de l’accusé, visiblement amateur de jeunes garçons et ayant déjà eu comme compagnons des adolescents de 15 ans alors qu’il avait lui-même largement le double de leur âge (ce qui n’est pas illégal en soi s’il n’y a pas « autorité » ou « détournement »). En outre, l’ordinateur de l’accusé à dévoilé un stock de photos pédopornographique. » (source)
Il a été condamné à seulement quatre ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Montauban.