[Article de Laurent Glauzy en exclusivité pour Contre-info. L’auteur dédicacera ses livres samedi à Paris.]
Unisex, ouvrage publié en Italie, en 2014, par les répugnantes Enrica Perucchietti, écrivain diplômé de philosophie de la faculté de Turin, et Gianluca Marletta, anthropologue, atteste d’une dangereuse dérive culturelle, sociale et spirituelle, allant vers une légitimation de la pédophilie.
Cet objectif a pour ambition secrète de créer un homme nouveau, privé d’identité. Pour ne pas alerter l’opinion, les médias tentent de garder le silence sur les réelles intentions soi-disant égalitaristes de cette manipulation dictatoriale, tandis que le pouvoir politico-financier fait à coups de millions dollars la promotion du gender.
Les défenseurs d’un tel projet, satanique, fondé sur de présupposés pseudo-scientifiques, argumentent que l’identité sexuelle provient d’une perception subjective notamment culturelle. L’idéologie du gender nie les différences biologiques et sexuelles entre l’homme et la femme. L’individu pourrait ainsi choisir son sexe. Il s’agit d’une « réattribution » sexuelle.
Opérer les enfants pour le plaisir des pédophiles
De plus, ce dogme reconnaît les orientations sexuelles, telles l’homosexualité, la bissexualité et la pédophilie, mises au même rang que l’hétérosexualité. Le bras militant de ce procédé culturel est constitué par les mouvements gay et homosexuels, cachant en arrière-boutique des groupes pédophiles comme Nambla (Association nord-américaine pour l’amour entre les hommes et les jeunes garçons). Des fleuves de financements publics et privés, sont attribués à ces lobbies à la solde des Illuminati, pour éradiquer la nature même de l’homme.
Selon le psychologue et sexologue néo-zélandais John William Money (1921-2006), père officiel du gender, « l’identité sexuelle est substantiellement un produit de la société, elle est donc souple et malléable dès la naissance. » Le rêve de ce pervers s’articulait sur une forme de « démocratie sexuelle » dans laquelle chaque type de rapport sexuel, y compris la pédophilie, était promu et légalisé !
Money avance : « La pédophilie et l’éphébophilie (amour des adolescents) ne sont pas plus un choix volontaire que d’être gaucher ou daltonien. » Au paroxysme de sa folie, cette psychiatrie prévoit une intervention chirurgicale pour des enfants ayant des pénis peu développés. La vision perverse de Money devient tristement réelle : après cinquante années durant lesquelles la pédophilie a toujours été considérée comme une maladie, aujourd’hui cette perversion revêt l’aspect d’une « orientation sexuelle » respectable.
Cette légalisation de la sauvagerie est dénoncée aux États-Unis par la puissante American Family Association, organisation fondée en 1977 par le pasteur méthodiste, Donald Ellis Wildmon. Entre autres actions, l’American Family Association boycotte des entreprises qui subventionnent le lobby homosexuel.
Dans la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) de juillet 2013, remplaçant la quatrième édition de 1993, le désir sexuel des enfants est décrit comme « une orientation comme les autres ».
La Repubblica du 9 février 2014 a publié une enquête d’Ipsos visant à banaliser la pédophilie en présentant qu’un Italien sur 3 considère comme acceptable le sexe avec des mineurs. Une telle propagande cherche à faire croire à la masse inculte qu’une grande partie des Italiens accepte la pédophilie.
Détruire la famille
La destruction de la famille, la plus ancienne institution, est l’objectif des Illuminati qui, pour ce faire, envisagent donc de passer par l’éducation. Dans cette perspective, la religion est le premier rempart à abattre : « Les gens qui croient dans les Ecritures n’ont pas le droit d’endoctriner leurs enfants avec leurs croyances religieuses, parce que nous, l’Etat, les préparons pour l’année 2000, lorsque nous ferons partie d’une société mondiale à laquelle leurs enfants ne pourront tout simplement pas s’adapter. » (Sénateur Peter Hoagland du Nebraska, 1980)
Si dans Le Nouveau testament de Satan (1770), Adam Weishaupt, fondateur des Illuminati, prônait la destruction de la famille et des nations, l’ouvrage TheCity of Man : A Declaration on World Democracy (La ville de l’homme : discours sur la Démocratie Mondiale), édité en 1940 par The Viking Press, entreprise appartenant à l’empire Rockefeller et qui fut retiré subitement des bibliothèques après trois éditions en trois mois, mentionne : « Ce Nouvel ordre exige un remodelage de la famille, des associations éducatives, du voisinage et de l’église sous la direction d’une nouvelle religion… La religion universelle de la démocratie. »
Et, David Spangler, franc-maçon et principal philosophe du mouvement New Age, directeur d’un projet des Nations Unies, l’Initiative Planétaire, définit la nature de ce Nouvel ordre : « Personne n’entrera dans le Nouvel ordre mondial à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Personne ne fera parti du Nouvel Age sans avoir reçu une initiation luciférienne. »
En Italie, les descendants des Carbonari travaillent contre la famille pour l’avènement de la prochaine dictature. À Venise, des inspecteurs seront chargés de surveiller les enseignants et de corriger le cas échéant les expressions retenues comme « discriminatoires ». Un tel projet, organisé par l’Académie de la cité lagunaire vise à « promouvoir une éducation sortant des stéréotypes des genres. » Il est prévu pour les professeurs1 un parcours de formation articulé autour de six rencontres pendant lesquelles « les maîtres pourront se libérer des préjugés liés à l’identité ». Les maîtres d’école maternelle et élémentaire de Venise, devront s’habituer à la présence dans leur classe de deux tuteurs qui dirigeront leur « rééducation » sur des thèmes relatifs au gender et l’orientation sexuelle »2.
Des communes italiennes ont d’ailleurs modifié leurs formulaires administratifs : les termes « père » et « mère » ont été substitués par les expressions « géniteur 1 », « géniteur 2 » pour désigner les éléments d’un couple. Tout cela, sous prétexte de ne pas opérer de discrimination, un argument bien fallacieux ne bernant que les plus idiots. Car, la démocratie – qui n’est pas une fin en soi, mais un moyen pour renverser le trône et l’autel – montre son vrai visage en accomplissant les plans de ces maîtres satanistes. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) intervient aussi dans ce sens.
L’OMS aux ordres de la perversion
Dans le document Standards pour l’Education sexuelle en Europe émis par le Bureau régional pour l’Europe de l’OMS prescrit pour les enfants :
– de 0 à 4 ans, « l’apprentissage et le plaisir en jouant avec son corps : la masturbation de la première enfance. (…) Il s’agit de l’âge idéal pour la découverte du corps et des organes génitaux », pour « exprimer des besoins, des désirs en jouant par exemple au docteur ». C’est aussi, selon l’OMS, l’âge idéal pour « consolider l’identité du genre ».
– de 4 à 6 ans, « la masturbation » et l’amour « avec des personnes du même sexe ».
– de 6 à 9 ans, « la connaissance des droits sexuels des garçons et des filles ».
– de 9 à 12 ans, apprentissage de la « reproduction, de la planification familiale, des différentes formes de contraception et des conséquences des rapports sexuels non protégés ».
Changement de sexe
John Money exposait que l’on pouvait suivre la croissance d’un enfant avant le développement de tous les organes sexuels. Lorsqu’un adolescent jouait à la poupée ou mettait les vêtements de sa sœur, le psychologue néo-zélandais préconisait de bloquer par des médicaments la puberté inadéquate et d’orienter le jeune sujet vers une autre puberté en fonction du sexe qu’il aurait « choisi ».
L’industrie du divertissement joue un rôle fondamental pour créer l’homme nouveau. Les média (cinéma, télévision, radio, etc.) sont l’instrument principal de la propagande. La télévision offre toujours plus de spectacles, de reality show, de feuilletons sans fin sur la thématique de l’idéologie du genre. Cette anesthésie s’opère par le biais de l’industrie de Hollywood et des dessins animés comme avec Walt Disney qui, par des sociétés de production intermédiaire comme Touchstone, Miramax, est la plus grande entreprise de pornographie au monde. Derrière l’Illuminati Walt Disney, Franc-maçon du 32e degré, qui promouvait le cannibalisme, se cachent des activités liés à la production de snuff movies, films réels tournées pendant le viol et la mise à mort d’enfants3.
C’est dans cette même logique que les Illuminati se servent d’« artistes » à l’instar du chanteur homosexuel et blasphémateur (et en odeur de satanisme pour certains) Rufus Wainwright, défenseur du commerce des enfants par l’intermédiaire des mères porteuses. Il est marié avec son ami et manageur Jorn Weisbrodt, depuis qu’Obama a aboli le Defense of Marriage Act (loi de Défense du mariage) en 2013. Cependant, cette union contrenature et anti-dieu n’a pas empêché Rufus d’avoir un enfant avec Lorca Cohen ! Dans ses concerts, il habille en femme Jésus sur la Croix, et chante que le Messie est gay.
Pour son émancipation, un enfant a besoin d’un père et d’une mère. Et, il ne fait aucun doute que la destruction de ce schéma entraînera celle de la famille, comme le voulait l’organisation théosophique et maçonnique de la Lucifer Trust d’Helena Blavatsky qui prônait dès 1922, année de sa fondation, la destruction de l’humanité. Fondé en 1932, le mouvement de la Bonne volonté mondiale, une des filiales de la Lucifer Trust (devenue Lucy Trust, pour plus de discrétion), est représentée à l’ONU. C’est cette entité supra-gouvernementale dont les Illuminati d’Adam Weishaupt (financé par Amschel Rothschild), annonçaient l’idée dans le cadre de leur dictature mondiale.
Cette réalité est bien la photocopie du monde décrit dans le roman de science fiction Le Nouveau monde d’Aldous Huxley, édité en 19324. Le frère d’Aldous Huxley, Sir Julian Sorell Huxley, (1887-1975) fut le premier directeur de l’UNESCO et fonda en 1961 le World Wildlife Foundation5, association mondialiste de « sauvegarde » de la nature chapeautée par la Lucifer Trust ! Décidément, le monde est bien régi par une logique satanique, comme le démontre le gender.
Laurent Glauzy
Laurent Glauzy est aussi l’auteur de :
Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
Atlas de géopolitique révisée, tome I
Chine, l’empire de la barbarie
Extra-terrestres, les messagers du New-Age
Le mystère de la race des géants
1 Cette mainmise de l’enseignement, également opéré par l’Unesco pour pervertir l’éducation publique, apparaît dans une série de neuf volumes, intitulés Toward World Understanding (Vers l’entente mondiale) qui projette d’instruire des enseignants de la maternelle et du primaire sur l’art subtil de la préparation des élèves pour le jour où leur loyauté première sera dévolue à un gouvernement mondial. Le programme est tout à fait précis. L’enseignant se doit de commencer par éliminer tous les mots et toutes les phrases, les descriptions, les photos, les cartes, le matériels utilisé en classe ou les méthodes pédagogiques qui conduiraient les élèves à exprimer un sentiment de loyauté envers leur pays. L’Unesco expose que ce schéma est engendré par l’« étroit esprit de famille ». Dans ce cas, l’enfant doit être traité avec une abondante dose de contre-propagande dès son plus jeune âge. Le livret V, à la page 9, informe l’enseignant : « L’école maternelle ou infantile a un rôle important à jouer dans l’éducation de l’enfant. Non seulement, elle peut corriger la plupart des erreurs de la formation à domicile, mais elle peut aussi préparer l’enfant à l’adhésion, vers l’âge de sept ans, à un groupe du même âge et aux mêmes habitudes, la première d’une longue série d’identifications sociales qu’il devra pratiquer sur le chemin de l’adhésion à la société mondiale. » Le système éducatif, qui fut auparavant un succès de par la qualité de son enseignement, a été changé en un système consacré à former les enfants à devenir de serviles ressources humaines, pour être utilisées par les Illuminati. En 2000, le Scottish Executive a publié une liste de documents d’éducation sexuelle, recommandée pour les enfants de cinq à quatorze ans. La liste comportait la publication Taking Sex Seriously : Practical Sex Education Activities for Young People (1994), qui encourageait les enfants à participer à des jeux de rôle, en jouant les homosexuels refoulés, et à discuter des activités sexuelles telles que le doigté anal et la pénétration.
2 Il giornale d’Italia du 1/11/13 dans l’article La lobby gay anche nelle scuole : maestri controllati (Le lobby gay aussi dans les écoles).
3 Robin de Ruiter, Die Köder des Satanskultes, Durach, Pro Fide Catholica, 2004, p. 13 in Laurent Glauzy, Illuminati de l’industrie rock à Walt Disney, les arcanes du satanisme, La Maison du Salat, 2012, p. 36.
4 Aldous Huxley (1894-1963), professeur au M.I.T. (Massachussetts Institute of Technology) de Boston. Homme de la synarchie globale. Neveu de Thomas Huxley (un des fondateur de la Table ronde) frère de Sir Julian Huxley (premier directeur de l’Unesco et président de l’Eugenetics Society). Aldous fut membre de la Fabian Society [qui soutint la révolution bolchévique de 1917 avec les Rothschild et les Rockefeller] et de la Golden Dawn, expérimenta l’usage des drogues hallucinogènes, et décrivit ses visions dans deux essais apologétiques Les portes de la perception (1954), Le Ciel et l’enfer(1956). Son œuvre la plus populaire reste Le Nouveau monde (1932).
5 Le WWF fut fondé avec le Prince Bernhard de Hollande, adhérant à la secte élitiste satanique du Bohemian Club et dont les frais d’adhésion sont de 25.000 dollars. En juillet 2000, le journaliste texan Alex Jones pénétra cette secte avec une caméra cachée, se faisant passer pour l’équipe de Bush, et filma des mises en scène imitant des crimes rituels. Etranges occupations pour l’élite politique et financière de notre monde.