Le milliardaire George Soros, financier très en vue des campagnes de Barack Obama, a alimenté des groupes radicaux d’extrême gauche à hauteur d’au moins 33 millions de dollars en une seule année. Une enquête explosive sur les versements financiers du docile protégé de la dynastie bancaire des Rothschild révèle également que ces groupuscules sont par exemple à l’origine des manifestations de Ferguson, survenue après la mort d’un jeune Noir américain, tué par un policier blanc.
Le document révèle également que son argent a servi à peser sur les médias, les organisateurs, les manifestants, les slogans… En d’autres mots, George Soros, figure clé de l’élite mondialiste, n’a cessé d’alimenter la pression au sommet du pays comme à sa base, dans cette guerre menée contre la police locale. La stratégie était habile : les médias n’ont cessé de relayer la propagande financée par George Soros.
La pseudo « charité » du milliardaire est depuis longtemps connue de tous ; elle a bénéficié à la campagne présidentielle de Barack Obama, mais aussi à l’avènement de révolutions comme celle d’Ukraine.
L’argent de Georges Soros a permis d’influencer et de manipuler les manifestations de Ferguson
Kelly Riddell, journaliste du Washington Times, écrit ainsi : « Il y a un homme, un seul homme au cœur financier du mouvement de protestation de Ferguson. (…) Ce n’est pas la victime, Michael Brown, ou l’officier Darren Wilson. (…) C’est le milliardaire libéral George Soros, dont l’empire financier domine l’Europe et a permis de forger une machine politique alimentée par diverses associations à but non lucratif qui influencent sans cesse la politique américaine. »
Certaines de ces organisations ont permis de mobiliser des manifestants, d’autres se sont lancées dans la « recherche universitaire » pour produire des éditoriaux repris dans la presse entière.
Pire encore, toutes ces organisations ne cessent de « s’alimenter les unes et les autres », selon les mots du Washington Times, créant ainsi une « caisse de résonance » et permettant de faire croire que l’information vient de plusieurs sources. Certains médias sont d’ailleurs financés par… Soros lui-même, ce qui simplifie encore davantage le processus.
Parmi les organisations qui sont descendues dans les rues de Ferguson, nombreuses étaient celles qui étaient financées par le milliardaire : Samuel Dewitt Proctor Conference, Drug Policy Alliance, Make the Road New York, USA Equal Justice, Sojourners, the Advancement Project, the Center for Community Change, ainsi que la Gamaliel Foundation.
George Soros a également financé des programmes anti-police dans les écoles de New-York
George Soros n’était cependant pas le seul à financer ces manifestations. D’autres forces puissantes, qui lui sont alliées, ont également aidé à alimenter une protestation essentiellement raciale. Les fondations « philanthropiques » Ford et Tides, ont également versé des millions de dollars pour l’opération.
Le rapport révèle encore que l’argent de Soros a également servi la cause de manière indirecte. En 2010, les écoles de New York ont mis en place un cours sur les droits de l’homme pour les élèves du collège et du lycée. Outre qu’il fait la promotion des droits de l’homme à la mode onusienne, le projet se concentre également sur les mouvements révolutionnaires menés contre la police locale. Cinq ans plus tard, le monde des jeunes était prêt à l’action. Leurs manifestations ont d’ailleurs été soutenues par le président Barack Obama lui-même. Identité de vues…
Obama a également lancé un autre projet : « Organizing for Action », qui entraîne 10.000 organisateurs communautaires progressistes pour « transformer la nation », grâce aux millions de Georges Soros, une fois de plus.
George Soros, l’administration Obama et l’ONU soutenaient les manifestations raciales de Ferguson
L’ONU elle-même a soutenu les protestations, appelant les Etats-Unis à revoir leur politique d’armement ou à nationaliser leur police : des revendications mondialistes par excellence. Les policiers ont été innocentés ou reconnus en état de légitime défense, mais l’ONU n’a pas lâché prise. Sans surprise, George Soros est très favorable à l’ONU, dont il finance régulièrement les rapports.
Le mouvement semble aujourd’hui s’être tari. Mais rien n’exclut le retour prochain d’autres manifestations « spontanées » et « populaires » qui auront pour but de « transformer les Etats-Unis ». Et les médias, au lieu de faire leur travail, chanteront une fois de plus les louanges du « progressisme ».
Béatrice Romée pour Reinformation.tv