Le ministère de la Culture a céder sous la pression de l’anti-France, mais les bonnes feuilles numériques et papiers, continueront d’utiliser l’expression nègre en matière de littérature.
Ne dites plus « nègre » pour désigner un auteur sous-traitant anonymement un texte signé par une autre personne, souvent célèbre. Employez plutôt le terme « prête-plume » par exemple. Dans un communiqué, le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) explique que la formule « nègre littéraire » « s’est imposée dans le monde littéraire, justement parce le « nègre », est celui qui fait tout le travail, sans en retirer le véritable bénéfice. »
Le Cran a en effet obtenu gain de cause auprès de la ministre de la Culture.
« Considérant que le terme « nègre (littéraire) » est inapproprié pour désigner la fonction ou le métier d’écrivain de substitution, il est proposé, après consultation des membres de la Commission d’enrichissement de la langue française, d’employer le terme « prête-plume », notamment utilisé en Amérique du Nord, ou encore, en fonction des contextes, les termes « auteur ou écrivain ou plume cachée », voire « auteur ou écrivain ou plume de l’ombre » », indique le ministère de la Culture.
Et le white spirit ?
Je continuerai personnellement à user du terme Nègre littéraire, cela fait partie de note vocabulaire, tels » un petit-blanc » un »grand crème », un »petit-noir », un »blanc-cassé ».