Près de 8000 prisonniers ont vu leur peine raccourcie et ont déjà été libérés en un mois, pour désengorger les prisons par crainte de l’épidémie (parmi eux 130 islamistes radicaux).
Les fruits ne se sont pas faits attendre.
Or, voici qu’Adeline Hazan, « contrôleur général des lieux de privation de liberté », réclame que 7 000 autres soient répandus dans la société et n’accomplissent pas leur peine !
Précisons qu’Adeline Hazan, de père juif égyptien, fut une politicienne socialiste (maire de Reims), et présidente du Syndicat de la magistrature, organisation d’extrême-gauche rendue célèbre par son « mur des cons ».