Coup de gueule pertinent de Jonathan Sturel, après le cirque du couple mal marié devant les caméras américaines, bavant sur la famille royale dont lui est issu.
« Il y a plein de choses à dire sur ce pitoyable guignol, mais rien ne pourrait être plus précis que cette simple déclaration : Harry est incontestablement le plus gros débile d’Angleterre, et c’est accessoirement un traître pur et simple.
Dans quelques années, il divorcera de cette opportuniste et on aura la confirmation de ce que l’on sent déjà, à savoir qu’elle lui vampirise l’esprit au point de le pousser à renier et trahir son sang, son rang, son milieu et sa position. Rappelons qu’il y a encore quelques mois, cet effroyable abruti dénonçait le… «racisme systémique», ah ! quelle surprise !
Ce type blanc, de sang royal, européen de la plus ancienne souche possible, se retrouve, flanquée de sa roulure bigarrée, devant une milliardaire afro-américaine woke, à assister au spectacle pitoyable de la mise en pièces, par sa femme et avec la complicité de la grosse noire, de sa famille, de son sang, de ce qu’il est lui-même et qu’il incarne dans sa chair. Et il ne bronche pas, ce crétin ! Il acquiesce même, il valide tout cet abruti !
La famille royale paie son inconsistance.
Il ne fallait pas laisser le rejeton s’enticher de la première actrice progressiste venue, car il était inévitable que cela causerait problème sur problème. Cet ado attardé (je ne veux pas en rajouter une couche mais il porte sur le visage qu’il est limité) a fait un caprice, quitte à tout risquer y compris la paix familiale, pour une fausse belle dont la propre sœur dit qu’elle est une narcissique adepte du mensonge. Saviez-vous par exemple que cette fille, lors de son premier rendez-vous galant avec le rouquin, portait le même parfum que Lady Di ? Quel genre d’esprit tordu il faut être pour aller à un rendez-vous avec le fils en portant le parfum de sa mère décédée ? Personne ne me fera croire qu’un esprit sain fait ce genre de chose.
Pauvre con ! »