La folle furieuse socialope Anne Hidalgo profite du long entre-deux-tours et de son bon résultat au premier tour des municipales pour aggraver encore son programme anti-automobilistes et anti-libertés.
Ces mesures qui auraient été énoncées sous forme de plaisanterie il n’y a pas longtemps sont désormais officiellement annoncées :
« Proposition phare de l’alliance entre Anne Hidalgo et les écologistes : limiter la vitesse dans tout Paris à 30 km/h. […]
Le boulevard périphérique n’y échappe pas. Anne Hidalgo souhaite y abaisser la vitesse de 70 à 50 km/h. Elle avait déjà été abaissée de 80 km/h à 70 km/h en 2014. «Nous transformerons le deux fois quatre voies du boulevard périphérique en un boulevard urbain apaisé : nous commencerons par créer une voie réservée aux transports partagés (bus, navettes, taxis, covoiturage) pour progressivement réduire le nombre de voies de circulation, donner plus de place à la nature, et donner la possibilité de traverser à pied ou à vélo», abonde le manifeste. L’objectif est clair : effacer progressivement cette «frontière d’un autre âge».
Le manifeste entend poursuivre la politique de réduction de l’automobile mise en place par la maire socialiste. «Lutter contre toutes les pollutions est un enjeu de santé publique. C’est pourquoi nous continuerons de réduire la place de la voiture dans notre ville», martèle le manifeste. À ce titre, «plus aucun véhicule diesel ne circulera dans Paris en 2024», promet Anne Hidalgo, et «la moitié des places de parking seront transformées en 5 ans, notamment pour agrandir les trottoirs.» » (source Le Figaro )
Quel cauchemar…
Contrairement à ce que disent ces tarés, la multiplication des bouchons par la suppression de voies, et les voitures qui vont devoir tourner interminablement à la recherche d’une place, sont autant de facteurs d’aggravation de la pollution.
Ces socialistes détestent cet instrument de liberté individuelle qu’est la voiture et veulent que tous les Français se retrouvent massifiés, dans des transports en commun bondés d’une population au sein de laquelle ils se sentent eux-même étrangers, avec désagréments et insécurité au programme.