«Ni Dieu, ni maître, ni Etat.», «A bas toute autorité», «Feu aux chapelles.»Les auteurs de cette agression, non revendiquée à ce stade, sont vraisemblablement issus de ces groupuscules d’extrême gauche qui prospèrent depuis un an avec l’aval et l’encouragement implicite des autorités politiques.