Histoire à l’endroit : Algérie française, le mois de mars 1962, mois de l’horreur

« Le mois de Mars 1962 est le mois maudit de ces 8 années de terrorisme

Il sonne le glas de l’Algérie Française ; que pouvions nous encore espérer après ces sinistres pseudo-accords déviants qui ouvraient de façon irrémédiable la voie à l’abandon de cette terre Française entièrement façonnée par un peuple composé de multiples nationalités venues pour en embrasser une seule : Française ; ce peuple qui face aux difficultés gigantesques, à force de persévérance, de sacrifices parvenait à sortir ce pays de l’époque moyenâgeuse pour en faire la figure de proue de l’Afrique, mais aussi le fleuron de la France.

Il débute dans l’horreur, l’ignominie et va être le reflet de ce qu’est le FLN, cette organisation terroriste à qui l’Etat Français va faire cadeau d’un pays où il ne poussait que des cailloux et à qui l’on va remettre sur un plateau un territoire digne d’un Eldorado.

EVENEMENTS

Mers-El-Kébir, banlieue oranaise. Le 1er mars 1962 tombait un jeudi. Il faisait le temps même de la vie, le temps qu’on imagine pour le Paradis. Un air doux et léger, un ciel aux profondeurs bleues auquel le soleil réservait sa plus fastueuse débauche de lumière, une senteur subtile de jardin laissait supposer une journée radieuse…

Il était environ 11h, un groupe de musulmans encadré par des femmes fit irruption dans la conciergerie du stade de La Marsa, à Mers El-Kébir, tout près de la base militaire. Dans une véritable crise de folie meurtrière collective, ces hommes s’emparèrent de la gardienne, une européenne de trente ans, Mme Josette Ortéga et, sans la moindre raison, à coups de hache, la massacrèrent. Couverte de plaies affreuses, dans un ultime effort, elle tenta de s’interposer entre les bourreaux déchaînés et son petit garçon, mais en vain. Les tortionnaires déments frappèrent encore sous les yeux horrifiés du petit André, quatre ans, puis quand il ne resta plus qu’une loque sanguinolente, ils se saisirent de l’enfant et lui broyèrent le crâne contre le mur.

Leur forfait est accompli, ils s’apprêtaient à partir lorsque l’un des barbares se retourne et voit arriver une petite fille avec des fleurs à la main. C’est Sylvette, 5 ans, qui est allée cueillir des fleurs. Aussitôt il se rue sur elle, la roue de coups et pour l’achever, la saisissant par les pieds, la fracasse, tout comme son petit frère, contre un mur.

Quand M. Jean Ortéga, employé à la direction des constructions navales, franchit la grille du stade, le silence qui régnait le fit frissonner. D’ordinaire, ses enfants accouraient, les bras tendus dans un geste d’amour. Une angoisse indéfinissable le submergea. Il approcha lentement, regarda autour de lui… puis, là, dans la cour, un petit corps désarticulé tenant encore dans ses mains crispées des géraniums, la tête réduite en bouillie, une large flaque de sang noirâtre tout autour.

Dès le lendemain les derniers défenseurs du drapeau tricolore entreprirent de venger cette boucherie inutile sur des innocents.

Ils furent vengés. Mais ils ne revinrent pas à la vie.

Ainsi débuta ce triste et sinistre mois de la honte de Mars 1962 qui conduisit à l’exode de tout un peuple.

La Métropole aussi connaît ses drames.

Le 3 Mars 1962 : trois résistants Toulonnais trouvent la mort dans l’explosion de leur véhicule. N’oublions donc jamais que des Métropolitains qui ne possédaient ni terre, ni réfrigérateur se sont battus pour que l’Algérie demeure Française.

Le F.L.N. poursuit inlassablement ses crimes qui atteignent le summum de l’horreur ; les enlèvements se poursuivent.

Le 4 mars 1962, Guy Lanciano et Daniel Falcone sont enlevés à Alger dans le quartier du Ruisseau. Pendant 41 jours ils subiront des tortures effroyables à la « Villa Lung ». On leur coupe le nez, les oreilles, on crève les yeux de l’un et l’on matraque l’autre qui perd l’usage de la parole.

– L’aveugle peut parler, le muet ne voit plus.
Ils seront libérés par un commando de l’OAS et remis aux services médicaux de l’arméfrançaise à l’hôpital Maillot. Leur état physique est tellement dégradé qu’on les garde longtemps… trop longtemps dans cet hôpital… jusqu’au mois d’avril 1963, période à laquelle la Croix-Rouge avise les familles de leur transfert à l’hôpital de Nancy par avion sanitaire. JAMAIS ces familles ne les reverront! …

Le Sénateur Dailly interpelle de Broglie sur cette disparition. Réponse du Ministre : « L’affaire est sans doute compliquée : il subsiste quelques points obscurs. Je fais actuellement poursuivre sur le territoire national des recherches extrêmement poussées.

– Inutile de préciser que ces recherches – si elles ont vraiment eu lieu – n’ont jamais abouti…

L’OAS a conscience que son combat est celui du dernier espoir aussi elle redouble ses actions notamment en éliminant les tueurs du FLN libérés ou sur le point de l’être.
A Oran le 5 mars un Commando OAS prend d’assaut la prison et exécute 2 tueurs du FLN condamnés à mort mais graciés et en blesse 30 autres.

Le lendemain un autre Commando détruit les archives et dossiers des membres OAS inculpés en faisant sauter le troisième étage de la Préfecture d’Oran

Entre le 6 et le 13 Mars l’ALN intensifie ses actions à la frontière tunisienne dans le seul but de faire fléchir la France.
Elle n’a pas besoin de cela car l’on sait parfaitement que de Gaulle a vendu l’Algérie.
Le 7 mars les négociations FLN-Gaullistes qui avaient été interrompues aux Rousses, reprennent à Evian.

L’OAS doit réagir avant que ne soient signés ces accords entre le Gouvernement Français et le GPRA.
A Oran le Général Jouhaud envisage une insurrection qui devra se faire autour de Tlemcen., il fixe la date du 11 mars 1962, Jouhaud dispose de l’infanterie de marine, de 3000 harkis, de tous les GMS, du cinquième étranger, d’un régiment de hussard.

Il tente de rallier le Commando Georges ; mais le Capitaine Georges GRILLOT s’y refuse et au contraire s’arrange pour une mutation en Métropole ; Jouhaud se retourne sur l’un des piliers du Commando Youcef qui se désiste également.

Il est prévu qu’un territoire soit ainsi libéré, et que l’O.A.S. demande à participer aux négociations d’Evian.
La date est fixée au 15 Mars.
Alger, informé, demande de retarder pour se coordonner avec le maquis de l’ouarsenis, qui doit se mettre en place plus tard.

Le 13 mars 1962,Michel Debré répondant à une question du général Ailleret demandant si les musulmans perdront automatiquement la citoyenneté française déclare :

– «Oui s’ils demeurent en Algérie, mais s’ils reviennent en métropole après l’autodétermination, ils pourront reprendre la nationalité française et bénéficier des aides aux rapatriés. »

Puis se produit l’impensable en cette journée du 14 mars 1962 ; Pour la première fois, l’aviation française mitraille les terrasses d’Oran, à la demande du général Katz et sur ordre de De gaulle. Pour réduire l’OAS maitre de la ville, Katz avait interdit toute présence sur les terrasses.
Jamais l’armée n’avait nulle part en Algérie mitraillé de telle façon une ville Européenne. Il est vrai que jusqu’en 1962, aucune d’entre elle n’était ouvertement FLN.

Et nous voici arrivés à la date de toutes les trahisons ; ce 18 mars 1962 sont signés des « accords d’Evian » par Krim Belkacem pour le GPRA et Louis Joxe, Robert Buron et Jean de Broglie pour la France.

o Un cessez-le-feu applicable le 19 mars à 12h
o Un programme commun d’intentions proposées à ratification par référendum (8 Avril en France et 1er Juillet en Algérie).
De Gaulle fait libérer Ben Bella le soir même; il prend immédiatement – avec ses collègues – l’avion pour Genève et déclare à la télé « c’est la solution du bon sens. »
Les élus d’Algérie publient un communiqué « les populations d’Algérie se défendront elles- mêmes; »
Le sort des Européens d’Algérie était scellé par l’article 2 du chapitre 2A qui permet aux Européens de faire la demande de nationalité algérienne après les trois ans de la période temporaire.
Ils n’étaient donc pas de droit algérien, mais devaient obtenir l’accord du F.L.N., accord qui ne sera pratiquement jamais accordé. De plus cette nationalité n’est qu’une sous nationalité, celle d’un dhimmi en pays musulman.
L’armée française rentre aux casernes, l’article 5 prévoit qu’elle stationne de façon à éviter tout contact avec les forces du F.L.N. Un décret secret du gouvernement leur indique : « l’armée française ne pénétrera pas dans les zones fixées pour le stationnement des forces F.L.N. Tout contact avec les forces F.L.N. sera évité ». Dans ses mémoires, le général Fourquet, successeur d’Ailleret en tire les conclusions :  » … la sécurité diminue instantanément… »

La population Européenne n’étant plus protégée, l’O.A.S. décide l’implantation de maquis afin de remplacer l’Armée et assurer la protection des populations rurales.

Le Général Salan décide la création de maquis.
Le colonel GARDES implante un maquis dans le massif de l’Ouarsenis, sur un terrain favorable contrôlé par le Bachaga BOUALEM.

Le commando Albert du Sous-Lieutenant Giorgio MUZZATI, qui opérait dans le secteur, se renforce d’une centaine d’hommes venant d’ALGER.

Accroché par l’ALN, encerclé par l’armée française, mitraillé par l’aviation, l’aventure tourna court rapidement et prit fin le 10 Avril.

Un certain nombre de maquisards furent tués, principalement lors du combat contre l’ALN, d’autres plus nombreux furent fait prisonniers et le reste parvint à s’échapper.
Le Commandant Paul BAZIN – le Sergent SANDOR – AOUSTIN Pierre – BEVILAQUA Michel – ESCRIVA Roland – MARQUES Jean Claude sont tués au cours de l’accrochage.

En Oranie le Général Jouhaud donne l’ordre à Marc Peyras chef de l’Organisation de Mostaganem de créer un maquis dans les monts du Dahra.

Dès son implantation il assurera la protection de plusieurs communes et interviendra dans toutes les actions que ni l’armée, ni la gendarmerie n’assurent pour se conformer aux accords déviants.

Ses actions se montreront des plus efficaces et enrayeront les attentats du FLN. Régulièrement les maquisards sont renseignés tant par les SAS, que par les chefs de 2 douars.
De Gaulle ce Général imposteur qui s’est imposé en 40 grâce et avec l’appui des Communistes, ce général adulé par les Français qui sans doute ignorent toutes ses trahisons, ce général d’opérette qui a sur les mains le sang de milliers de Français, celui qui est considéré par l’un des plus grands journalistes politologues français comme le plus grand traitre de la 5ème République.

Sur les ordres de de Gaulle Pierre Messmer donnera l’ordre à compter du 19 mars de désarmer tous les Harkis et Moghzanis les livrant ainsi à la vindicte des égorgeurs qui leur feront subir les pires atrocités indescriptibles.
Les populations musulmanes qui pour leur grande majorité étaient pro-françaises comprennent qu’elles subiront le même sort que les Harkis.

Voulant se racheter elles commettront les pires atrocités dont le summum de l’horreur fut atteint à Oran le 5 juillet 1962.
Ces assassins de dernière heure seront désignés les « marsiens » par leurs propres compatriotes.

Les premiers Harkis désarmés subiront à Saint-Denis du Sig, village Oranien, l’assaut des barbares ; les Harkis se défendront avec acharnement mais leur courage n’empêcha pas la mort d’une centaine d’entre eux.
Quelques Officiers enfreindront les consignes et au risque de leur carrière embarquent à destination de la France les familles des Moghaznis sous leurs ordres.

Malgré la précipitation des évènements et le danger qui les guette plusieurs Douars d’Oranie manifestent leur attachement à la France.
Le 21 mars à Djeniene Meskine, sur la route d’Oran à Sidi-Bel-Abbès deux délégations sont descendues respectivement de la Cité et du douar. Tous les hommes du village, accompagnés de leurs femmes et de leurs enfants, suivaient les porteurs de drapeaux tricolores et scandaient  » Algérie française  » tous se dirigeant vers la mairie. En cours de route, des Européens du centre et des ouvriers, de la C.A.D.O., toute proche, se joignaient aux manifestants. Et ce fut bientôt un millier de personnes qui stationnaient devant la mairie. Puis, dans un silence impressionnant, devant toute cette foule figée au garde-à-vous, le grand drapeau tricolore était monté au haut du mât, hissé par deux employés municipaux, un Européen, et un musulman… Puis une femme musulmane, prenant la parole, exhortait, en français et en arabe, tous ses concitoyens à la fraternisation. Pour finir, une vibrante Marseillaise réunissait, d’une même voix et d’un même cœur, les deux communautés, réunies comme autrefois.

On pouvait donc encore voir se rassembler Européens et musulmans sous les plis de notre emblème, malgré le F .L.N . Malgré le F.L.N., car la veille, trois rebelles étaient venus commettre des actions terroristes. Surpris par un groupe de G.M.S. de Saint-Lucien, commandé par le capitaine Audon, deux rebelles étaient abattus et le lendemain la population criait sa volonté de rester française.

A Tébessa, le même jour, une manifestation analogue se déroulait.
Le 23 mars c’est le drame de Bab el Oued qui oppose l’OAS à l’armée ; Bab el Oued va subir le joug des forces gaulliennes qui n’hésiteront pas à tirer sur toute cible quelle qu’elle soit.
7500 appartements seront entièrement saccagés par les gardes mobiles pris de folie ; 15000 personnes vont être arrêtées et transférées dans des camps.
Ce blocus conduira la population algéroise à une manifestation de soutien, d’apport de vivres et de médicaments ; manifestation pacifique réprimandée par le sang.
A Oran depuis une semaine les combats de rue font rage, les gardes mobiles n’hésitent plus à utiliser les canons de 37 et mitrailleuse de 12,7 pour tirer sur les commandos OAS.

Malgré les combats un commando OAS organise un hold-up à la Banque de l’Algérie. Le butin est estimé à plus de deux milliards d’anciens francs.

Les combats entre gendarmes et Collines font 10 morts. le préfet de Police se réfugie à Mers El KEBIR.
Les combats entre Collines et gendarmes mobiles s’intensifient et font autant de victimes dans les rangs OAS, Gardes mobiles que dans la population civile.

Selon la presse, cette journée se solda par 1 tué et 15 blessés chez les gendarmes ; 3 blessés chez les soldats ; 1 tué et 21 blessés chez les civils.
Au cours de ces attaques contre les gardes mobiles, ces derniers n’hésitèrent pas à tirer sur les immeubles à l’arme lourde et tuèrent plusieurs civils.

Mesdemoiselles Lucette DOMINIGUETTI – 16 ans, Monique ECHTIRON – 14 ans, qui étendaient du linge sur leur balcon furent abattues par les gendarmes mobiles qui tiraient à la 12.7 ; madame AMOIGNAN, née DUBITON (dont le père avait été tué par le F.L.N.), sa petite fille âgée de 2 ans et demi furent fauchées, à l’intérieur de l’appartement, par des rafales de mitrailleuse 12.7 ; la sœur Sophie atteinte à la jambe dut être amputée par le docteur COUNIOT. Une mère de 7 enfants, Incarnation ESCODA, est tuée par une rafale de 12,7.
A Bab el Oued, c’est la poursuite de la répression, en particulier tous les jeunes entre 18 et 21 ans sont raflés et déportés en métropole. Cette mesure s’applique du reste dans toute l’Algérie et prendra l’appellation de « Plan Simoun ».
Dans le bled, à Bou Alam, près de Géryville le F.L.N. fait lire par le maire sa première instruction officielle : « tous ceux qui porteront encore l’uniforme colonialiste après le 1 Avril seront exécutés . Par ailleurs les harkis et anciens harkis devront quitter le village de regroupement près de la SAS et regagner leur ancien douar. »
La plupart souhaitent s’engager dans l’armée française, mais l’armée ne prend que les célibataires, ils sont presque tous mariés.
Le douar regroupement de Yalou se pavoise aux couleurs française, drapeaux de fabrication locale.
Le commandant Guillaume, adjoint de Jouhaud pour le bled Oranais est arrêté « par hasard » à un barrage routier.
En fait il a très certainement été livré par l’un ou l’autre des officiers qui lui avaient promis de démarrer ce jour l’insurrection, et qui n’ont pas bougé.

Et ce 25 Mars 1962 : le choc. Les combats entre OAS et Gardes Mobiles n’ont pas cessé et s’intensifient ; tout le monde imagine que c’est la recherche du poste émetteur.
Mais en réalité c’est l’arrestation du Général Jouhaud ; à ses côtés Claude-Sandra Raymond appelée Cléopâtre dans la Résistance Oranaise.

Elle fut une héroïne au sein des défenseurs de l’Algérie Française.
Cléopâtre fut son pseudonyme dans l’Organisation Armée Secrète.

Elle fut la secrétaire du Général Edmond Jouhaud, étant à ses côtés en permanence, et resta à ses côtés lors de son arrestation un certain 25 Mars 1962.

Cette femme exceptionnelle qui dirigeait l’Echo de l’Oranie, que nombre d’entre vous connaissent qui s’est éteint le 23 mars 2013.
26 Mars 1962. Ce jour de 1962, alors que De Gaulle avait trahi et abandonné l’Algérie aux égorgeurs du FLN, des Français manifestaient pacifiquement rue d’Isly, à Alger. Pour empêcher la population algéroise d’apporter son soutien à Bab-el-Oued, quartier assiégé par la Gendarmerie mobile, le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4ème Régiment de Tirailleurs Algériens qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement qui prévient que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier : « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer » (source Paris-Match n°178). Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule. Une centaine d’Algérois – hommes, femmes, enfants – furent abattus et d’autres centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.
Ainsi s’achève ce mois de Mars 1962 que nul ne peut oublier.
Une blessure peut, avec le temps, se refermer ; mais il y restera toujours la cicatrice.
Il en résultera un bilan de 637 attentats qui auront causé la mort de 537 innocents et 936 blessés.

Mais cette fin de mois de Mars 1962 ouvrait aussi le début des horreurs perpétrés quotidiennement : tueries, enlèvements dont le summum sera atteint ce 5 Juillet 1962 à Oran.

Condensé des principaux évènements relatés par R.G. Le 28 Février 2021