La comparaison est frappante. D’un côté, Vincent Reynouard qui a mené des recherches sur ce qui est appelé désormais couramment « la Shoah » et dont les conclusions ne coïncident pas avec la version officielle et obligatoire.
La justice française lui a rapidement trouvé une place dans nos prisons qui refusent pourtant souvent des condamnés, faute de place.
De l’autre, Monsif Ghabbour, multirécidiviste condamné à sept reprises, mis en examen pour «vol à main armée» et «tentative d’homicides volontaires». Il est cette fois accusé d’avoir participé à la sanglante attaque du casino d’Uriage près de Grenoble.
Tout juste attrapé par la police, il vient d’être remis en liberté et simplement placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès, au grand dam des syndicats de police.
Bienvenue en République française !
Et n’oublions pas le papy toujours en prison pour avoir tiré de son propre domicile contre deux filles qui le dévalisaient.
Fondamentalement, ce genre de nouvelles n’est peut être pas forcément une mauvaise chose. C’est tellement gros, que ça peut réveiller des gens, se rendant ainsi compte que nous vivons dans une période où toutes les valeurs normales sont inversées.