Ce week-end, le prix du public du festival de la bande dessinée d’Angoulême a couronné Le Bleu est une couleur chaude, le roman homosexualiste de Julie Maroh. «Je suis très heureuse d’avoir reçu, plus particulièrement, le prix du public, a déclaré l’auteur. Je trouve ça bien qu’une thématique lesbienne ait réussi à toucher le public dans son ensemble. Les lecteurs ont reçu cette histoire entre deux femmes comme une histoire d’amour comme toutes les autres.»
Mais oui, personne ne doute que c’est le « public » qui a réellement choisi cette BD de propagande lesbienne…
C,est comme le Goncourt ou le festival de Connes (de Cannes, pardon), ce genre de « prix » est avant tout idéologique et magouillard.
Une Bd qui raconte la vie de lesbienne récompensée… comme c’est bizarre. Son auteur ne peut pas être talentueux, puisque c’est lesbien! Ah c’est forcément de la propagande!