« Une semaine après l’incendie dans la cathédrale de Nantes, le bénévole du diocèse est passé aux aveux et a été placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour «destructions et dégradations par incendie». […]
L’homme «a reconnu, lors de l’interrogatoire de première comparution devant le juge d’instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale: sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique», a précisé le procureur de la République de Nantes Pierre Sennès au quotidien. » (source)
En démarrant trois foyers tout au long du bâtiment, l’individu était particulièrement déterminé à détruire cette magnifique cathédrale.
On notera comme le clergé local – connu pour être particulièrement moderniste et de gauche – s’est lourdement fourvoyé, encore une fois.
• Complice du Grand Remplacement et (cette fois) au mépris des lois et du bien de la nation française, il hébergeait un clandestin rwandais (qui, après le non-renouvellement de son visa était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF)) à qui il avait donné les clefs de l’édifice.
• Après la première garde-à-vue de l’homme, le personnel de la cathédrale le défendait vigoureusement : « Et c’est tombé sur lui [le placement en garde à vue], car c’est lui qui a fermé la cathédrale », a estimé le recteur. « Mais les enquêteurs font leur travail. Moi, j’ai confiance en lui, comme j’ai confiance en nos autres collaborateurs. » Et d’autres de décrire un homme « gentil », « doux », « croyant », etc.
A priori, le Rwandais chargé de fermer la cathédrale, était furieux que son visa n’ait pas été renouvelé et a voulu se venger des Blancs.
Il faut bien avoir une chose en tête, même si ce n’est pas politiquement correct : cet homme « gentil » et « catholique pratiquant » (qu’est-ce que ce sera avec d’autres qui ne correspondent pas à ces critères…), de par ses origines et sa formation, est probablement incapable d’apprécier à sa juste valeur la beauté grandiose d’une cathédrale gothique et de lui témoigner le respect, l’admiration qu’elle impose aux hommes d’un peu de culture (sans parler de spiritualité) et en particulier aux descendants des bâtisseurs. Pire, il y a peut-être une sourde hostilité, une forme de jalousie peut-être, vis-à-vis des réalisations les plus remarquables d’un peuple qui n’est pas le sien (ce dernier n’ayant jamais été capable de produire quelque chose de tel).
En tout cas, il n’y a pas que l’immigration islamiste qui pose des problèmes de sécurité… La « droite » villiériste ferait bien d’en prendre de la graine.
Au passage, saluons la performance dans la nullité du quotidien pseudo-catholique La Croix : il confond « hôtel » et « autel », et considère qu’être servant de messe est être « bénévole pour un diocèse ». Inculture crasse…