« Lorsqu’elle a voulu montrer sa suprématie sur la religion catholique, la République a décroché toutes les croix des murs, a utilisé la force pour déloger de leurs congrégations des communautés de bonnes sœurs et de frères désarmés, a pris possession des églises et en a bradé le mobilier, a établi le règne des Droits de l’homme athée contre la foi et contre le Christ. Sans sourciller une seconde.
Lorsqu’elle veut, ou lorsqu’elle prétend vouloir freiner l’appétit d’un islam conquérant devenu vorace, elle refuse d’utiliser le mot «islam» afin de ne pas offenser les musulmans.
Rappelez-vous simplement qu’après les lois de séparation, sur les places des villages, l’officier public, mandaté par la République, organisait des ventes sauvages des objets de culte auprès desquels s’étaient recueilli plusieurs siècles de vos ancêtres. Que l’on a retrouvé, sur les étals des brocanteurs, des statues qui avaient passé 300 ans, parfois plus, dans les églises de nos aïeux. Ce vandalisme légal, cette boucherie, cette profanation, la République les assume impeccablement, je le redis : sans sourciller.
Et maintenant, il faut à cette République profanatrice vingt attentats pour commencer à envisager la fermeture administrative, pour quelques mois seulement, d’une mosquée fanatique.
Et lorsqu’il s’agit pour elle de répondre à la conquête de nos territoires par l’islam, elle refuse même de citer seulement son nom.
La République française n’est pas la solution à nos problèmes, elle est le problème. »