Une phrase incroyable, à un tel niveau de responsabilité.
Jean-François Delfraissy, président du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) chargé de l’organisation des états généraux de la bioéthique, a donné un entretien à Valeurs actuelles.
Il y exprime bien la pensée moderne : relativisme, incapacité à distinguer bien et mal, mythe du progrès, vénération de la science qui n’est plus vue comme un moyen. Quand on pense qu’il est chargé de l’« éthique » (c’est-à-dire ce qui a trait à la morale) au niveau de l’État, c’est assez effrayant.
Extraits (nous mettons en gras) :
Jean-François Delfraissy : « Parfois, c’est la science qui avance très vite et la société qui est en retard [en retard sur quoi ? – NDCI], parfois, la société avance plus vite. Entre les innovations de la science et celles de la société, il n’y a pas de bien et de mal. Il y a un équilibre à trouver qui doit s’inscrire dans la notion de progrès. […]
« On a une société qui évolue, il y a donc une série de valeurs qui peuvent évoluer. La notion de valeur est relative. Il n’y a pas de valeur absolue. [A ce moment Delfraissy se rend compte qu’il ouvre une brèche contre son camp et qu’on pourrait vouloir remettre en cause les valeurs républicaines, le démocratisme, le droit-de-lhommisme, etc. – NDCI] Enfin si, il en existe, mais sur les sujets dont nous parlons, ce sont les besoins de nos concitoyens qui doivent être aussi pris en compte. »
« Valeurs actuelles : Vous avez dit que les deux arguments que vous preniez en compte étaient les évolutions de la société et celles de la science et qu’il n’y avait pas de bien et de mal. Mais n’est-ce pas votre rôle de dire ce qui est bien et ce qui est mal ?
Delfraissy : Je ne sais pas ce que sont le bien et le mal, et vous avez de la chance si vous le savez vous-même ! En tout cas, le CCNE n’est pas là pour indiquer où se trouvent le bien et le mal. »
« VA : Lorsqu’une femme dit qu’elle veut avoir un enfant, son désir doit-il devenir un droit ?
Delfraissy : c’est le droit à l’enfant. J’y suis sensible, comme je suis sensible au droit de l’enfant lui-même. »
la Révolution maçonnique et nietzschéenne de la « mort de Dieu »
nous a plongés dans un nihilisme actif, c’est à dire militant pour détruire l ‘ordre naturel intelligible par la raison , façon Aristote,
et pour détruire aussi l’ ordre surnaturel , compris par st Thomas d’ Aquin.
le Progrès révolutionnaire , c’est la marche forcée vers la barbarie de la forêt amazonienne; une formidable régression de la civilisation si laborieusement élaborée.
Qu’il s’en aille et lle bien restera.
Qu’il s’en aille et lle bien restera.
Qu’il s’en aille et lle bien restera.
Qu’il s’en aille et lle bien restera.
Qu’il s’en aille et lle bien restera.
la « secte » s’est exprimée.
Cadoudal ,
Bien franchement je crois que vous vous égarez quelque peu .
Il me semble que la barbarie qui nous menace réellement est une dictature de technocrates et de savants dont force est de reconnaître qu’elle est inévitable .
Les immigrés ? Laissez-moi rire ! Consultez les Q.I.par races ( ou par haplogroupes , si le mot race vous indispose )
Rien de plus facile que d’éliminer la vermine prolifique …
Le progrès a certains bons côtés , tout de même .
La démocratie telle qu’elle est comprise aujourd’hui n’est pas destinée à durer . La démocratie telle qu ‘ analysée par Aristote et mise en pratique bien plus tard par le Reich allemand et , semble-t-il , par une partie de la Corée de nos jours , soit !
Ne pas oublier que dans un société , c’est toujours une infime minorité qui gouverne et que la masse s’en accommode souvent fort bien .
@Albert.Les immigrés constituent une force armée dont les technocrates ont depuis longtemps estimé qu’elle leur était utile.Autrefois les bolchéviks utilisaient les pauvres désormais les immigrés ont pris le relai.Les multiples traffics , l’économie souterraine ça rapporte etc etc etc ……..
gendebien ,
Vous m’apprenez ce que je crois avoir compris depuis longtemps .
De ma déjà longue existence de vagabond , je conserve un souvenir ébloui , de mon séjour dans la Cité-Etat de Singapour. Enfin une République fort bien régie !
L’élitisme y est de rigueur , comme il se doit chez les héritiers de Maïtre Kong
Nous, nous allons vers le tiers-monde … en ne protestant guère .
Oui, @Albert, bientôt la France et l’Europe entière ressembleront à l’Afrique du Sud où a lieu un véritable génocide des Blancs dont les médias ne parlent pas, puis à Haïti…
Nos maîtres en discuteront sûrement au dîner de ce soir, vite, il faut accélérer le processus…
Les Français doivent absolument réagir, mais tant que les frigos seront pleins, tant qu’on aura du pain et des jeux, personne ne bougera.
le nihilisme nietzschéen « surhumain » procède du même esprit que le marxisme léninisme:
c’est une fureur de destruction de notre civilisation gréco-latine-chrétienne.
Cadoudal ,
Croyez-vous réellement que le marxisme ait reçu une quelconque application en Russie ?
Le léninisme est par nombre de ses aspects l’exact opposé du marxisme . Pour comprendre cette idéologie , il faut s »intéresser , plus qu’aux grimoires du petit génie de la Judengasse de Trêves , à un personnage autrement important , Genghis Khan . Le léninisme , c’est une forme virulente de despotisme oriental .
Le marxisme , c’est un paravent . La philosophie en vogue dans l’ex- URSS , c’était le cosmisme russe . Les amateurs de N. Roehrich comprendront .
– pour s’ouvrir l’esprit il y a de nombreux articles intéressants dans Alexandre Douguine : Pour le Front de la Tradition
Cordialement
Les larmes et les prières des bons, feront que mon Fils enverra ses anges mettre à mort tous les hommes adonnés au mal (Notre-Dame de La Salette.)
Mais ces jours seront abrégés sinonaucun élu n’aurait la vie sauve ( Evangiles eschatologie)
« Croyez-vous réellement que le marxisme ait reçu une quelconque application en Russie ? Le léninisme est par nombre de ses aspects l’exact opposé du marxisme »
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c’est au nom d’un darwinisme marxiste d’ amélioration des classes humaines que Lénine et ses bolcheviques ont voulu plonger le monde entier dans une guerre civile sanglante, dite « lutte des classes ».
la folie criminelle qu’on appelle « communisme » est l’ application des théories de Marx , adaptées par Lénine.
( se reporter à l’ excellent livre de Stéphane Courtois –Lénine, l ‘inventeur du totalitarisme, chez Perrin)
Cadoudal ,
Je ne veux pas polémiquer , ni avec vous , ni avec d’autres d’ailleurs . Il me semble toutefois que S. Courtois est un opportuniste dont la platitude n’a d’égale que la mauvaise foi .
Octobre 1917 ne fut nullement la prise du pouvoir par le prolétariat russe , c’est bien autre chose .
Les Khazars , jadis vaincus par les Russes , prennent alors une éclatante revanche .
Que penser d’un historien qui le cache ?
Un farceur , c’est tout .
Karl Marx s ‘adressa à Darwin pour qu’il accorde une préface à son premier livre du Capital .
Le grand naturaliste lui répondit une lettre fort polie où il faisait état de son incompétence en économie pour se récuser .
– je vous recommande chaleureusement trois livres un peu anciens d’Yves Christen :
Le dossier Darwin
L’heure de la Sociobiologie
Marx et Darwin
Dans le premier de ces ouvrages lisez et relisez et faoites lire autour de vous
Clémence Royer : Les hommes sont inégaux par nature , voilà le point d’où il faut partir .
Enfin nul ne vous empêche de lire Ernst Haeckel , l’un des maîtres les plus respectés de l’Université d’Iéna ( au temps de sa splendeur )
L’œuvre de Dougine que vous conseillez, Albert, est imprégnée de gnose, donc de Kabbale.
Alexandre Douguine est tout sauf recommandable. C’est un gnostique proche des milieux maconniques et des juifs kabbalistiques qui souhaite la victoire de l’Avatar sacré ( Lucifer ) ! Il est aussi l’une des références de Joël La Bruyère, le gourou des Brigandes…
Bonjour,
Si la physiologie nous montre ce qu’est le mécanisme de nos organes, si la psychologie nous apprend quelles sont nos facultés mentales et sentimentales, la morale nous enseigne l’usage que nous devons en faire.
La physiologie nous dit ce que nous pouvons, la psychologie ce que nous faisons, la morale ce que nous devons.
On peut la définir ainsi : « C’est l’ensemble des règles qui doivent guider la libre activité de l’homme. »
Ces règles doivent être basées sur les vérités éternelles ; elles doivent reposer sur les principes mêmes qui ont créé la vie et dirigé l’évolution humaine. Sans cela ce n’est pas la morale.
Ces principes étant partout les mêmes, sur notre terre, tous les hommes doivent être soumis aux mêmes règles de conduite puisqu’ils sont soumis aux mêmes lois physiologique. Donc, la morale doit être une, elle doit être universelle comme les vérités premières qui doivent être l’origine et la fin de tous les devoirs de la vie.
L’histoire nous montre, en effet, que les préceptes de morale, observés chez tous les peuples de la terre, reposent sur un fond commun d’idées.
Le code du devoir a toujours été à peu près le même. La pensée souveraine qui a traversé tous les âges et qui semble être née spontanément dans toutes les parties du monde, est l’écho des lois immuables qui gouvernent la nature humaine.
Les vérités morales, nécessaires à la vie sociale de l’humanité, ne sont le privilège d’aucun temps, d’aucun peuple, d’aucun individu. Partout la conscience humaine est soumise aux mêmes lois et se développe dans la même direction.
Il ne doit y avoir qu’une morale, comme il ne doit y avoir qu’une science.
La morale universelle, unie à la science universelle doit devenir la Religion suprême, celle qui dirigera tous les peuples, qui régnera dans toutes les nations.
« Les lois morales ne sont pas nées d’hier ni d’aujourd’hui, elles vivent de toute éternité ; je ne pense pas que les ordres d’un mortel aient assez de force pour renverser ces lois, qui ne sont pas écrites, mais qui sont immuables. » (Sophocle Antigone).
Mais les causes premières sur lesquelles se base la loi morale échappent à l’entendement actuel de l’humanité.
Elles sont à l’origine de la vie sociale, comme les causes qui ont dirigé l’évolution des êtres sont à l’origine de la substance organisée.
L’idée que nous avons d’une loi morale n’a pas son origine dans notre moi actuel, nous l’apportons en naissant, c’est un lot de l’héritage ancestral. Nous pressentons les lois de l’ordre moral, nous les proclamons et nous nous y soumettons avant de les comprendre : C’est un phénomène d’atavisme. Nous pouvons même dire que, dans l’état actuel de l’esprit humain, les causes n’en sont plus du tout comprises.
Et, cependant, il semble qu’une voix intérieure révèle à l’homme la différence qui existe entre le bien et le mal, le juste et l’injuste. Mais la cause de ces différences lui échappe.
C’est un flambeau que les générations se passent de mains en mains sans que personne ne songe à demander qui a allumé ce flambeau, où, quand et pourquoi….
« Quant à l’idée du bien et du mal, de l’honnête et de l’infâme, de la décence et de l’indécence, du bonheur et du malheur, de ce qui est conforme au devoir, de ce qu’il faut faire, ou ne pas faire, quel homme ne l’a pas apporté, pour ainsi dire, en venant au monde ? » (Epictète. Discours)
Les causes morales doivent être cherchées dans les principes mêmes qui ont créé la vie et dirigé l’évolution puisqu’elles sont inhérentes à la nature humaine. Mais il faut savoir quel est le rapport qui peut exister entre ces principes et les actions des hommes ; pourquoi la nature humaine est organisée de telle sorte qu’en suivant ses impulsions l’homme ne va pas toujours vers le bien ? Quelle signification on doit donner au mot bien et au mot mal, quel est le but que l’homme doit chercher à atteindre, en un mot, qu’est-ce que la perfection morale ?
Lien : Le Bien et le mal : loi morale :
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/le-bien-et-le-mal.html
Cordialement.