« Jean-Paul Delevoye, « ministre des retraites » du gouvernement d’Edouard Philippe depuis septembre, est dans la tourmente depuis qu’une première version de sa déclaration d’intérêts, mise en ligne samedi 7 décembre par la HATVP (Haute Autorité pour la transparence de la vie publique), a fait apparaître une série d’omissions et de points problématiques. […]
Depuis 2013, la loi oblige tout ministre à indiquer à l’autorité garante de la probité des responsables publics, d’une part, sa situation patrimoniale, et d’autre part, ses responsabilités présentes et passées, si celles-ci sont susceptibles de présenter un risque de conflits d’intérêts et d’influencer sa prise de décisions futures. […] » (source)
Delevoye avait déclaré 3 mandats, or, on vient d’en découvrir… 13 !
Dont certains bien rémunérés : il « a touché 78.408 euros net au titre d’un ancien ancien poste de “conseiller du délégué général” du groupe IGS, ainsi que 73.338 euros net en 2018 et 62.216 en 2019 en tant que président d’honneur du groupe de réflexion Parallaxe. »
Un des mandats est au sein de la SCNF… Un beau conflit d’intérêt dans le contexte actuel.
Bref, l’inconsistant Delevoye n’est qu’un apparatchik emblématique : menteur, donneur de leçons, politicard (longtemps UMP, puis PS, puis macroniste), gavé d’argent public et de subsides de grand groupes…