Aujourd’hui, médias et politiciens nous serinent avec le sida et la « prévention ».
Au comble du grotesque, et à cours d’idées de communication, le gouvernement annonce une baisse de la TVA sur les préservatifs de 7% à 5,5%…
Alors qu’il est notoire que le préservatif protège mal contre le VIH… toutes considérations morales mises à part.
Bref, l’occasion de rappeler l’existence d’un livre iconoclaste, qui met à mal le business du sida en dénonçant certaines théories médicales :
Les 10 plus gros mensonges sur le sida, par Jean-Claude Roussez et le professeur Etienne de Haarven, éd. Dangles, 253p. 16€.
Livre disponible ici.
Voici l’alléchant sommaire et quelques extraits :
1er mensonge : Le sida est une nouvelle maladie.
Aussi bien le grand public que la majorité des professionnels de la santé sont persuadés que le sida est un phénomène épidémique apparu soudainement au début des année 80, causé par l’émergence d’un nouveau virus. Le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida, n’est pas à proprement parler une maladie. Un syndrome n’est qu’un ensemble de signes et de symptômes survenant simultanément chez le patient, qui se caractérise par une forte diminution, voire un effondrement, des défenses immunitaires. Depuis longtemps les deux principales causes d’immunodéficience acquise étaient parfaitement connues et documentées : – la malnutrition; – l’usage de substances dangereuses pour le système immunitaire (drogue, certains médicaments, sang transfusé).
2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH
Lorsque l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de consulter la littérature scientifique relative au virus proprement dit, on est frappé par le fait qu’aucune de ces investigations n’a jamais réussi à mettre directement en évidence la présence de la moindre particule virale, et en particulier pas la moindre particule rétrovirus, chez un malade du sida. […] C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier qui a la première annoncée la découverte d’une activité virale, en 1983, à partir de prélèvements effectués sur un malade du sida. L’année suivante, l’équipe de Robert Gallo, aux États-Unis, fit une annonce similaire. On s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa « découverte » un échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offerte quelques mois auparavant.
3e mensonge : Le VIH est la cause du sida