Le général Franco, après avoir sauvé l’Espagne du communisme (et par le même coup peut-être l’Europe) et de la décadence morale, a voulu transmettre le pouvoir.
Il décida de rétablir la monarchie, une monarchie traditionnelle et chrétienne.
Ce fut « Juan Carlos » qui monta ainsi facilement sur le trône et à qui il ne fallut pas longtemps pour trahir celui à qui il le devait ainsi que sa mission, son rôle :
ce parjure (il avait prêté serment de respecter les lois fondamentales de rédemption de l’Espagne du 18 juillet 1936) rétablit rapidement la démocratie (c’est-à-dire la ploutocratie démagogique, penchant à gauche), permit une brutale chute de la morale, la submersion migratoire et favorisa l’euro-mondialisme.
Il manquait encore quelque chose à cet individu indigne, surnommé « le roi aux 1 000 maîtresses ». Non seulement homme politique catastrophique et traître à son pays, il était donc aussi moralement lamentable ainsi que… particulièrement corrompu !
« Les justices suisse et espagnole enquêtent notamment sur une centaine de millions de dollars qui auraient été secrètement versés à Juan Carlos Ier par l’Arabie saoudite. » (source)
« Il est accusé d’avoir touché des pots de vins de l’Arabie Saoudite dans le cadre de contrats juteux entre les deux pays, dont une grosse partie a été déposée sur des comptes suisses après avoir transité par ceux de son ancienne maîtresse. Cette dernière a tout révélé à la justice qui enquête sur la véracité des faits. » (source)
Comme un aveu, Juan Carlos a décidé de s’enfuir de son propre pays pour éviter les problèmes judiciaires…
Maquillant bien sûr cela sous le prétexte du bien de l’Espagne, il espère – à 82 ans – pouvoir couler des jours heureux ailleurs…
« Guidé à présent par la conviction de rendre le meilleur service aux Espagnols, à leurs institutions, et à toi en tant que Roi, je t’informe de ma décision réfléchie de m’exiler, en cette période, en dehors de l’Espagne », a-t-il écrit dans une lettre à son fils, l’actuel roi Felipe VI. On notera que ce dernier ne condamne nullement l’attitude de son escroc de père.
« Son fils Felipe VI remercie son père pour la décision et souligne « l’importance historique de son règne ». »
On se doute que ce brave Felipe ne fait pas allusion au rôle mortifère de ce règne pour l’Espagne et pour la notion même de monarchie, lourdement entachée auprès de l’opinion.