On sait d’expérience que la liberté d’expression est un leurre dès lors que l’on aborde certains sujets, mais une étape supplémentaire vient d’être franchie. Le blogueur nationaliste en exil Boris Le Lay vient d’être condamné à un an de prison ferme (pénal), pour avoir qualifié de « brigand communiste » un conseiller municipal connu pour son soutien à l’accueil de clandestins (délinquants). Ce n’est pas le motif habituel d’incitation à la haine qui a été retenu pour motiver la peine, mais celui de « provocation publique à la discrimination » (sic) !
Le jugement rendu est en réalité une attaque ciblée contre un militant politique actif sur les réseaux sociaux et sur internet en général. C’est à se demander si la République ne cherche pas à atteindre Boris Le Lay par des biais détournés pour la gestion supposée du site Démocratie participative.
Voilà où en est la « justice » en France et on peut craindre le pire, ce gouvernement prévoyant de museler davantage la liberté d’expression, notamment sur les réseaux sociaux avec une loi en gestation et qui sera appliquée à partir de l’été prochain.
Source : Merci à Lionel