Il était reproché au charmant Ali Meguimi, une « chance pour la France », « d’avoir activement soutenu des responsables algériens d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qu’il comptait rejoindre et à qui il avait d’ailleurs envoyé de l’argent. Il avait en outre établi une liste de cibles, à l’instar de la tour Eiffel, pour un éventuel attentat en France. »
Cet Algérien condamné par le tribunal de Paris pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » à six ans de prison en septembre 2015 a bien sûr été libéré depuis…
Il avait également été tout de même interdit définitivement du territoire français à l’issue de son procès.
Mais finalement, il reste.
En effet, la France n’est plus actuellement un pays indépendant et la funeste « Cour européenne de droits de l’homme », que le terroriste de 33 ans a eu la bonne idée de saisir en mars 2018, s’est prononcée contre son expulsion car elle est « inquiète du possible recours à la torture de la part des services antiterroristes algériens » sur cet individu. Quelle délicatesse de la part de la CEDH.
Résultat : jusqu’à ce que cet organe supranational illégitime rende sa décision (d’ici 3 à 6 mois), Meguimi reste en France – ce pays qu’il hait -, assigné à résidence.
Source VA