Seulement une cinquantaine de fanatiques se sont rassemblés mardi à Paris pour la « Journée sans immigrés » (il s’agit d’inviter les immigrés à « ne pas participer à la vie de la cité » pour « marquer la nécessité [sic] de leur présence ») et une poignée d’autres se sont retrouvés à Marseille. Ils protestaient contre les « propos indignes » de « politiques visant à stigmatiser ou criminaliser les immigrés ». Rassemblés place de la Bourse (IIe arrondissement) à Paris, les manifestants ont déployé une banderole « Tous libres et égaux en droits, ou le 1er mars ce sera sans moi ». »Les partis républicains de droite comme de gauche se sont appropriés la thématique qui initialement était d’extrême droite: la stigmatisation de l’immigration est devenue une constante », a déploré un des fondateurs du collectif, Luc Ngwé. A noter que les immigrés eux-même ne se mobilisent pas pour ces pleurnicheries collectives.
L’insécurité à du baisser brutalement le 1 mars alors !
cinquante guignols qui feraient mieux de retourner dans leur pays qui ont eu le tort de laisser partir ces « pépites d’or » indispensables à leur économie.
Ben ma foi, forcément avant c’était le prolo qui devait se pousser et faire de la place, voir quitter son logement à loyer modéré, écouter du raï sur les chantier. Maintenant que monsieur et madame bobo le collabo se voit contraint et forcé de goûter les joies de la diversité,la c’est une autres histoire. Maintenant qu’il n’y plus un seul endroit ou ils peuvent s’adonner à leur loisirs en toute sécurité, il trouve ça beaucoup moins enrichissant. Sans parler de l’immigration choisi, et oui, c’est plus seulement l’ouvrier qui voit son salaire revu à la baisse.
Que vont-ils faire les pauvres ? Vont-ils etres obliges de rentrer chez eux ? Quel gachis.