Comme nous l’écrivions il y a quelques heures, le G8 est passé et maintenant les choses sérieuses vont commercer. Juste avant la clôture des marchés financiers de vendredi, la Commission européenne prévenait la Grèce que le « temps presse » pour adopter le nouveau plan d’austérité après l’échec des responsables politiques à s’accorder sur les mesures pour sortir de la crise de la dette et garantir la poursuite du soutien de l’UE et du FMI. La Commission « regrette l’échec des leaders des partis grecs à parvenir à un consensus sur l’ajustement économique pour surmonter l’actuelle crise de la dette » publique, a indiqué le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn.
« Nous comptons sur la poursuite des efforts en vue d’un accord de l’ensemble des partis pour soutenir le programme de l’UE et du FMI. Un accord doit être trouvé rapidement. Le temps presse », a-t-il ajouté dans un communiqué, alors que le premier ministre grec vient d’échouer à obtenir un soutien de l’opposition, de droite et de gauche, sur les nouvelles mesures d’austérité.
Le Premier ministre grec, Georges Papandréou, s’est cependant engagé à mettre en oeuvre sans délai le programme d’austérité réclamé par l’UE et le FMI, et à poursuivre, en dépit d’un premier échec, la recherche d’un consensus national sur ce programme. « Le gouvernement a la responsabilité de sortir le pays de la crise (…) nous remplirons cette mission avec ou sans consensus » des autres partis politiques, a déclaré M. Papandréou dans un message télévisé, après une réunion de crise sur l’économie avec les quatre autres chefs des partis parlementaires grecs. « Nous conclurons ces prochains jours les négociations » actuellement menées avec les représentants des bailleurs de fonds du pays, Union Européenne et Fonds monétaire international pour finaliser un nouveau plan de redressement budgétaire, « et prendrons les décisions nécessaires », a ajouté M. Papandréou, confronté à l’impatience de ses partenaires.
Comme nous l’avons exprimé dans le numéro 231 de LIESI (qui sera posté lundi), il ne peut y avoir aucun redressement quand on augmente le coût de la vie et les impôts et que, dans le même temps, on diminue les salaires. Pour ne pas comprendre une telle logique il faut être diplômé bac+20 et être formaté par les grandes écoles qui sont le vivier des fonctionnaires des organisations supranationales… comme le FMI et les commissions européennes. Non seulement la Grèce sombre dans le chaos, mais ce sera bientôt le tour de l’Italie et ensuite de la France. Pas étonnant que Mme Lagarde courtise un poste où l’on s’expose moins à la vindicte populaire… Et l’on voit mal en France un scénario identique à ce qui se fait en Espagne où la police mondialiste frappe les citoyens qui ne réagissent pas. En vue de cela, nos élites ont soigneusement demandé à ce que des troupes d’autres pays viennent faire le sale boulot quand la France sera dans la cible du cartel bancaire.
Cela ressemble bizaremment á la situation de l´allemagne avant la prise du pouvoir par vous savez qui … les memes rapaces (ou vampires , c´est plus juste quand on se fait sucer le sang jusqu´á la derníére goutte) nous expliquent que les crises font remonter l´extreme droite …HA BON…que lorsque les gens ont faim , ils se tournent vers l´extreme droite ..HA BON…tant qu´il restera une goutte de sang , ils continueront , ces gens sont des malades pathologiques …
finalement pour penser que Dominique est mieux en garde à vue, dans son magnifique appartement! peut-être esr-ce un coup monté…par lui!
Un peuple en colère est un peuple qui a faim. La Grèce l’Irlande et le Portugal devront sortir en novembre d’un coup de baguette magique plusieurs milliers de milliards d’euro. Après quoi on aura une crise de la monnaie unique des utopistes mondialistes, une crise financière qui s’accompagnera d’une inflation. Jusque la c’est pas bien difficile à deviner, ce qu’on sait pas c’est si les réfrigérateurs seront encore pleins.
Pour moi il y a deux dangers immédiat …octobre les banques l’état et les assurances vont faire leur bilan pour le JAPON crack boursier à mon sens inévitable.
Pour ce qui est de l’europe les petits pays sont rattrapables( ou on les vire poliment de la zone euro) . Mais pas les gros …
Si les socialistes passent en 2012 ils devront faire une deuxième réformes des retraites car sarko a bouché les trous avec sa reforme des retraites et vous pouvez lui dire merci(je ne plaisante pas) car on était proche de la banqueroute.Avec les socialistes toute réforme sera impossible avec la dinde des 35h(Martine Aubry) ou l’insipide François Hollande car ils sont prisonnier de leurs dogmes.
Les marchés financiers vont dégrader nos notes puis nous considérer comme insolvable …plop plus d argent pour les fonctionnaires et les retraites.
la france c’est 20/100 de fonctionnaires 4/100 d’assimilés fonctionnaires 4.5 millions de chomeurs ( abcd!!!) et 22 millions de pensionnés et de retraités donc en cas de défaut de paiement je vous laisse deviner la suite des événement .