Il fallait que le vol de l’inscription allemande « Arbeit macht frei » d’Auschwitz soit le fait d’un complot « nazi » malgré le fait que les coupables n’étaient que de simples voleurs voulant, eux aussi, participer au « Shoah Business ».
Nos médias névrosés ont trouvé une magnifique théorie (du complot?) :
Un ancien jeune néo-nazi suédois, qui fait partie aujourd’hui d’ Exit une association qui aide les jeunes à quitter les mouvements d’extrême droite, reconnais avoir été l’intermédiaire entre un mystérieux contact nazi et les cinq voleurs polonais. Grâce à la revente du précieux vestige, plusieurs millions de couronnes suédoises, le contact secret aurait planifié des attentats à la bombe contre le Parlement et le gouvernement suédois.
Reprenons, un nazi inconnu recrute un ex-nazi devenu anti-nazi pour embaucher cinq polonais afin qu’ils volent l’inscription d’Auschwitz qui sera vendue pour des millions et qui permettra le financement d’attentats terroristes et la prise du pouvoir en Suède par des hordes nazies!
Non, messieurs les journalistes, vous ne nous prenez pas pour des imbéciles… juste un peu!
Il fallait que, quoi qu’il en soit réellement, ce vol ait un lien avec la bête immonde. Contester cette version ubuesque serait bien sûr assimilé immédiatement à du négationnisme…
éhéhé c’est fort
Le travail rend libre; la dernière chose qui enchaine les gens, surtout en ce moment c’est l’absence de travail.
A défaut de travail, on fournit de l’émotion, du sensationnel !
– Des néonazis fétichistes
– Une conspiration extraordinaire
– Un Réseau tentaculaire
– De l’argent et des bombes
Manque plus que la « fille de l’Est » en photo sexy sur le portique volé pour la gloire des néonazis modernes, diraient les media.
La presse n’a pas eu ce qu’elle voulait, des méchants néonazis volant le portique historique.
Pas grave ! Suffit d’inventer cette histoire et elle va le faire son titre !