Starbucks est l’emblème de la multinationale mondialiste militante « made in USA ». Après la promotion du « mariage homosexuel », la suppression des références à la fête de Noël dans ses boutiques, la firme américaine explique vouloir offrir un point de chute aux clandestins. Soyons acteur de notre consommation , en évitant de donner notre argent à ce genre de fanatiques.
Mardi soir, l’enseigne fondée à Seattle a annoncé qu’elle allait embaucher 2.500 réfugiés en Europe pour travailler derrière ses comptoirs en France, Suisse, Allemagne, Autriche, Portugal, Pays-Bas, Espagne et Grande-Bretagne.
A terme, 10.000 réfugiés travailleront pour Starbucks
Cette mesure marque un premier pas avant une ouverture plus vaste : à terme, l’entreprise envisage de compter pas moins de 10.000 réfugiés, engagés dans 75 pays différents. Cet engagement « montre que des entreprises comme les nôtres peuvent utiliser leur taille pour avoir un impact positif sur la vie des gens », s’enthousiasme dans un communiqué le président de Starbucks Europe, Afrique et Moyen-Orient, Martin Brok.