Alors que la France et l’Europe sont submergées d’immigrés africains et que la natalité est catastrophique, nos bobos idéologues de l’écologie ne nous épargnent d’aucune ineptie… Leur dernière lubie ? Empêcher nos adolescents de faire des enfants pour sauver la planète… Ça pourrait presque faire sourire, s’il n’y avait pas le risque qu’un jour, l’Education Nationale ne se mette en tête de farcir le crâne des petits Français avec cette propagande dénataliste.
Trouvé sur l’Obs : « Le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) remis ce lundi matin nous a dressé le portrait d’un monde réchauffé à 1,5°C au-dessus des températures de l’ère pré-industrielle, alors que la fin du siècle pourrait bien connaître… le double. Pour freiner l’emballement du réchauffement climatique, les actions des Etats et des entreprises seront essentielles, mais le citoyen de base peut aussi faire sa part de travail. […]Alors, que faut-il faire ?
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Une naissance évitée, c’est un pollueur en moins. A l’échelle de la planète, réduire la population réduirait aussi les ressources consommées. Même pour une famille, l’économie est substantielle : les deux chercheurs ont estimé qu’en moyenne dans un pays développé un enfant de moins représente 58,6 tonnes de gaz à effet de serre par an qui ne seront pas envoyées dans l’atmosphère. L’équivalent de 36 aller-retours transatlantiques…
Certaines actions à fort impact sont peut-être politiquement impopulaires, mais cela ne justifie pas de se focaliser sur des actions modérées ou à faible impact », affirment Seth Wynes et Kimberly Nicholas.
Wynes et Nicholas, eux, plaident pour que les brochures d’information sur le changement climatique, principalement à l’usage des enfants, prennent en compte l’efficacité des mesures. « Nombre de ces changements pourraient être perçus comme des choix désirables pour promouvoir un mode de vie plus lent et plus sain », assurent-ils. Leur cible principale ?
Les adolescents. « Ils peuvent choisir leur propre régime alimentaire, influencer les décisions de la famille sur les vacances, et devraient être informés des conséquences environnementales de la taille d’une famille lorsqu’ils commencent à devenir sexuellement actifs. »
Sur ce point, Stern et Wolske sont d’accord avec leurs collègues : « Présenter ces choix de vie pour débuter des conversations avec les adolescents pourrait être prometteur, surtout si ces discussions soulignent également les problèmes de souplesse de comportement, de souplesse des politiques et de l’échelle de temps, et encouragent à prêter attention aux moyens de faciliter les changements ayant le plus fort impact. »»