Toutes considérations morales mises à part, la santé de nombreuses jeunes filles va en prendre un coup.
« Les dispositions permettant aux infirmières de renouveler les ordonnances de pilules contraceptives et aux pharmaciens de les délivrer avec une prescription « périmée », sont entrées en vigueur mardi, avec la publication au Journal officiel de la liste des médicaments concernés.
Ces mesures étaient inscrites dans la loi « Hôpital, Patients, Santé, Territoires » (HPST) de la ministre de la Santé Roselyne, votée en juin 2009. Toutes les pilules contraceptives existantes sont concernées par l’arrêté, a précisé le ministère.
Les infirmières pourront donc renouveler une prescription, datant de moins de un an, pour tout type de contraceptif oral, pour une durée maximum de 6 mois. Quant aux pharmaciens, ils pourront délivrer tout type de pilule avec une ordonnance dont la durée de validité est expirée, en inscrivant sur celle-ci « délivrance par la procédure exceptionnelle d’une boîte supplémentaire ». La même ordonnance ne pouvant servir qu’une fois. »
Source : Le Figaro.
Il n’y a pas que les jeunes filles qui en pâtissent, hélas. Les garçons aussi, car on sait bien que ces hormones une fois consommées sont rejetées dans la nature et se retrouvent dans l’organisme des individus mâles (animaux et humains). C’est la féminisation forcée.
une Gayisation en quelque sorte !
Une gayisation ou une stérilisation… Ce qui aboutit au même résultat : l’impossibilité de procréer.
Mais la pilule n’est qu’une cause parmi d’autres de cette pollution. Il y a aussi les pesticides, les composants pétrochimiques, les phtalates, Bisphénol A et autres produits synthétiques qui se comportent comme des perturbateurs endocriniens.