Le gouvernement ripoublicain français est le premier Etat à prendre officiellement position, via le Quai d’Orsay, contre les déclarations du cardinal Tarcisio Bertone sur l’homosexualité et la pédophilie.
«Il s’agit d’un amalgame inacceptable que nous condamnons», a déclaré Bernard Valero, le porte-parole du ministère lors d’un point-presse en réponse à une question sur les déclarations du cardinal Bertone, lundi au Chili. «La France rappelle son engagement résolu dans la lutte contre les discriminations et les préjugés liés à l’orientation sexuelle et l’identité de genre», a-t-il ajouté.
La musique est toujours la même. Sous prétexte de lutter contre une « homophobie » imaginaire, nos dirigeants corrompus nient la réalité la plus criante.
Le cardinal Bertone a simplement rappelé que les cas de pédophilie dans l’Eglise étaient, le plus souvent, le fait de prêtres homosexuels. Est-ce être homophobe que de rappeler des faits ?
Voici un communiqué du Parti de la France à ce sujet :
L’immoralisme et la tartuferie de la classe politico-médiatique contre l’Église catholique
En attaquant le cardinal Bertone, qui rappelait le lien entre l’homosexualité et la pédophilie, le ministre des affaires étrangères, monsieur Kouchner, engage le gouvernement français dans la formidable campagne médiatique de diffamation lancée contre l’Eglise catholique. Cette campagne de haine est d’autant plus scandaleuse qu’elle est relayée par des médias qui, en 1977 avaient publié une pétition, signée notamment par monsieur Kouchner, demandant la libération de trois détenus pédophiles.
La classe politico-médiatique aujourd’hui au pouvoir qui, à l’instar de l’actuel ministre de la culture, monsieur Mitterrand, défendait l’année dernière le cinéaste Polanski, ajoute la tartuferie à l’immoralisme
Aucune institution, religieuse ou laïque, n’est à l’abri de quelques pervers. Les dirigeants de l’Église les sanctionnent et les livrent à la justice. Que font en revanche dans ce domaine des institutions comme l’actuel gouvernement ou comme le ministère de l’éducation nationale, dirigé depuis des décennies par les syndicats de gauche ?
Rappelant le rôle essentiel joué par l’Église dans la défense de la dignité humaine contre les idéologies totalitaires et dans la construction de l’identité spirituelle de la France, Le Parti de la France dénonce cette campagne subversive et antichrétienne dont les motivations réelles sont évidemment politiques.