Article du Figaro :
Selon nos informations, les forces de police et de gendarmerie ne réalisent que 500 interceptions par an sur Internet, soit tout juste 10 % de leurs besoins, contre 35.000 écoutes téléphoniques. Selon nos informations, la France accuse un grand retard dans la modernisation des outils d’investigation sur Internet. Les interceptions téléphoniques – «les écoutes» – ont très largement fait face à l’explosion du nombre de téléphones portables depuis une décennie, en passant de 5845 écoutes en 2002 à 35.000 aujourd’hui. Pas de débat en revanche sur les interceptions sur Internet – les interceptions IP – car celles-ci peinent à décoller. La principale raison en est le coût : une interception téléphonique coûte aujourd’hui 12 euros par jour en moyenne tandis qu’une interception sur Internet vaut encore 80 euros. «Avec ces tarifs, les juges rechignent à autoriser une interception IP, explique une source policière. Les enquêteurs se voient souvent refuser leurs demandes.» Parfois, ce sont aussi les opérateurs qui ne sont pas assez réactifs.
Tant mieux. Plus ils seront à la ramasse, plus on pourra s’exprimer librement. Qu’ils aillent traquer les dealers sur le terrain plutôt que de surfer à l’affût d’un mot politiquement incorrect.
Ah ouiiiiiii il faut être extrememt ferme avec les forcenés du clavier. Pendant ce temps ça pille, ça tue, ça viole, et surtout ça récidive avec la complicité des juges rouges/fm. Tout va bien braves gens, la Raie Publique vous protège, et oubliez pas de bien payer vos taxes…
Oui ils ont du mal ! Même quand on leur indique des sites à la moralité douteuse !