Un cas exemplaire des méfaits du mondialisme a eu lieu ces jours-ci : un investisseur chinois a racheté le château de Gevrey-Chambertin (Bourgogne) et son célèbre domaine viticole.
Malgré une forte mobilisation, les viticulteurs locaux n’ont pas réussi à rivaliser avec les 8 millions que le Chinois, propriétaire de casinos à Macao (un vrai métier de voyou), a proposé aux revendeurs. Une somme dépassant largement l’évaluation du bien à 3,5 millions par les professionnels.
Bien sûr, la République, fidèle à ses principes libéraux et cosmopolites, n’a pas levé le petit doigt pour faire barrage à cette spectaculaire conquête étrangère de notre patrimoine ni pour donner un coup de pouce aux viticulteurs français.