En français, c’est « gendarmette ».
En revanche c’est bien d’admettre et de proclamer implicitement, comme le fait le ministère, que le métier de gendarme est un métier d’homme et que les femmes qui souhaitent l’embrasser ont des problèmes.
La prochaine fois, ils oseront peut-être écrire : « vous êtes lesbienne genre camionneur, devenez gendarme ».