L’initié Macron a annoncé une mesure radicale pour la rentrée prochaine : en plus de l’école obligatoire à partir de 3 ans (depuis 2019), il sera alors interdit aux parents d’instruire eux-même les enfants à la maison !
Hormis pour des « impératifs de santé ».
Le mondialiste « progressiste » de l’Elysée a fait part de cette idée dimanche, dans un discours sur son « plan de lutte contre les séparatismes ».
Notons que cela arrive quelques jours après que TF1 a diffusé un « reportage » honteux sur ce thème, comme pour préparer le terrain.
Macron – traumatisé après avoir été détourné par une femme qui pouvait être sa mère quand il était adolescent – veut pouvoir aller expliquer lui-même aux enfants sa conception délirante de la famille :
L’école publique tend désormais à fabriquer des ignares, illettrés et grossiers : le niveau s’est effondré, avec des pédagogies contre-nature et parfois gravement nocives (par exemple la « méthode globale » pour le français), des programmes aberrants ou immoraux et aussi, il faut le reconnaître, l’arrivée de populations étrangères qui plombent le niveau car elles n’ont pas les mêmes aptitudes ou inclinations.
A cela il faut ajouter que l’école publique est avant tout une vaste usine d’endoctrinement des enfants, de conformation à une idéologie bien particulière : l’idéologie républicaine, héritée de la Révolution et élaborée par les loges maçonniques. Une idéologie foncièrement anticatholique – ce fut son grand combat –, mais aussi anti-naturelle (contre la loi morale naturelle).
Ce rôle premier (l’endoctrinement) est officiel. Macron d’ailleurs l’a dit lui-même dimanche : « Parce que l’école doit d’abord inculquer les valeurs de la République […] » .
Dès lors, mettre ses enfants à l’abri de l’école publique relève justement d’un « impératif de santé » morale (et spirituelle) !
La République française est un régime intrinsèquement totalitaire et la Ve version se radicalise d’année en année. Elle ne tolère pas qu’on lui soit dissident, en actes ou même en propos : elle appelle ça maintenant le « séparatisme ». On n’a pas le droit ne pas s’unir au Régime actuellement en place !
Il veut qu’aucun cerveau ne lui échappe : c’est le pourquoi de cette mesure extrémiste de Macron concernant les petits.
En brandissant le spectre de l’islam radical – que ce même régime fait venir en France avec acharnement ! – on cherche à susciter l’adhésion de la masse inquiète, mais il s’agit de fait d’interdire l’enseignement conforme aux lois naturelles, au patriotisme, au catholicisme sur lequel s’est pourtant fondée la France.
Certes il existe (pour combien de temps?) des écoles libres, c’est-à-dire hors contrat, mais elles représentent un coût important pour le budget familial et surtout il y en a peu. C’est pourquoi des catholiques traditionnels de plus en plus nombreux choisissent l’école à la maison, généralement avec des cours par correspondance qui ont fait leurs preuves.
Mais tout ça risque effectivement de ne pas faire d’excellents républicains, mais de mauvais citoyens aimant la France française, pas convaincus par la pornographie homosexuelle publique, pensant que tuer un bébé dans le ventre de sa mère n’est pas bien, croyant comme leurs ancêtres que le Christ ne doit pas être relégué dans les sacristies, etc.
L’amateur élyséen de débauche homosexuelle africaine a eu aussi un petit mot pour les écoles hors contrat : elles « feront l’objet d’un encadrement encore renforcé ».
Les catholiques traditionnels (c’est-à-dire authentiquement catholiques) qui espèrent pouvoir vivre à peu près tranquillement, dans une société qui s’effondre (moralement, d’abord), avec leurs écoles à eux, se font des illusions : la pente est totalitaire et il s’agit d’un bras de fer permanent avec les forces antichrétiennes.
Cela fait plusieurs années que Contre-info en parle et l’annonce.
Si on fuit le combat politique, la politique nous rattrape tôt ou tard et entretemps beaucoup de terrain aura été perdu.
Cela se produit continûment parce que les catholiques désertent le champ politique. Mais ils peuvent perdre encore beaucoup de terrain, de libertés, notamment autour de leurs écoles. Qu’ils y en pensent. On n’échappe pas à la politique. Soit on la subit, soit on la fait.