L’ahurissant et mensonger article du « Monde » suite au décès de Jean-Marie Le Pen

Le Monde a choisi minutieusement sa photo d’illustration….

Le journal officiel du Régime ne se donne plus d’airs sérieux et impartiaux, il est devenu grossièrement militant ; on croirait du Libé.

On le voit avec un article de la « journaliste » Ivanne Trippenbach (qui était il y a peu directrice du service politique du Monde), mis en avant par le quotidien : Les dernières confessions de Jean-Marie Le Pen sur la torture pendant la guerre d’Algérie : « Je le fais sous les ordres de mon capitaine ».

Extraits :

« Comme si le vieux leader d’extrême droite, cofondateur du Front national en 1972, avait changé dans ses dernières années, tournant le dos à une vie de racisme et d’antisémitisme… Et, pourtant, il n’en était rien : Le Pen n’a jamais cessé d’être Le Pen ; […] »

« Des entretiens réguliers, enregistrés avec son accord, qui montrent Jean-Marie Le Pen tel qu’il a toujours été : homophobe, raciste, antisémite. »

« Son rôle en Algérie a disparu des éloges funèbres au RN. Sa pensée raciste et antisémite aussi. »

« En réalité, contrairement à ce que distillent les dirigeants du parti d’extrême droite, il n’a jamais cessé de cibler les juifs […] »

Autant d’affirmations grossièrement mensongères, comme le savent tous ceux qui ont un peu lu, écouté ou rencontré Jean-Marie Le Pen.

Il est aussi beaucoup reproché à JMLP d’avoir, pendant la guerre d’Algérie (lors de laquelle il a quitté son confortable siège de député pour aller défendre les Français et musulmans attaqués par les terroristes du FLN), manqué de tact en interrogeant des personnes lourdement suspectées d’assassiner à la bombe ou couteau des civils, des femmes, des enfants…
Quelle personne normale pourrait en vouloir à ces militaires qui, sous les ordres du général Massu, ont vaincu les terroristes à Alger? Au contraire, évidemment ! Mais le Monde, comme la gauche en général, marche sur la tête, et tout ce qui est antifrançais s’attire par principe ses faveurs.

Signalons ce passage, aussi, très révélateur de l’immoralité totale de ce journal :

Avant de nier clairement l’existence des chambres à gaz : « Le négationnisme est une opinion, assure-t-il. Vous avez le droit de ne pas croire en Dieu, mais pas aux camps de concentration. »

Trippenbach aussi analphabète ou malhonnête qu’arrogante (voir sa photo de profil sur X) ose écrire : « Avant de nier clairement l’existence des chambres à gaz », juste avant une phrase qui ne dit rien de tel !

JMLP, en partisan des libertés qu’il a toujours été, dit en substance qu’on a le droit d’avoir l’opinion que l’on veut sur l’historicité de certains épisodes de la 2e Guerre, et Trippenbach prétend alors que c’est « clairement nier l’existence des chambres à gaz ».
Autant de mauvaise foi et de malhonnêteté ne peuvent que scandaliser toute âme droite ; cela illustre bien, au passage, la méthode des adeptes du terrorisme intellectuel : accuser du pire ce qui ne sont pas tout à fait sur la ligne établie par eux.
Ce journal en a parcouru, du chemin, depuis qu’il a donné la parole au professeur Faurisson en 1978, celui-ci « ouvrant le débat », comme l’on dit maintenant, auprès du grand public, à une époque ou c’était encore légal.

A ce propos, un mot sur l’« affaire du détail » qui a fait couler tant d’encre et de salive (ou de bave) dans les médias.
Quand, interrogé en 1987 sur l’existence des chambres à gaz homicides du 3e Reich contestées par certains chercheurs (c’était alors « l’affaire » de la thèse universitaire d’Henri Roques), il a répondu que c’était un « point de détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale », il signifiait bien qu’il y croyait ! Les mots ont un sens, même si l’on peut trouver la formule maladroite pour telle ou telle raison. En faire une déclaration de « négationnisme » est un contresens grave.
On notera que, par exemple, dans leurs volumineux mémoires consacrés à la 2e Guerre mondiale, Churchill (6 volumes) et De Gaulle (3 volumes) n’évoquent à aucun moment les chambres à gaz. On pourrait donc logiquement penser que pour eux il s’agit d’un détail.
Sont-ils honnis pour cela par le monde médiatico-politique ?
Tout cela ressemble donc à un prétexte utilisé par certains pour combattre le patriotisme, exécré.