Une nouvelle gifle pour la gauche mondiale et son prétendu « sens de l’histoire ».
France Info rapporte cela en masquant difficilement son mécontentement :
« C’est désormais officiel. La gouverneure de l’Alabama, Etat conservateur du Sud des Etats-Unis, a promulgué, mercredi 15 mai, la loi anti-avortement la plus stricte du pays, a annoncé son cabinet. Ce texte a provoqué une levée de boucliers dans l’opposition démocrate et de larges pans de la société américaine.
Il interdit la quasi-totalité des interruptions volontaires de grossesse, même en cas d’inceste ou de viol et prévoit une peine de 10 à 99 ans de prison pour les médecins pratiquant un avortement, sauf en cas d’urgence vitale pour la mère ou d' »anomalie létale » du foetus. La gouverneure, Kay Ivey, a notamment expliqué dans un communiqué que « toute vie est un cadeau sacré de Dieu ». Cette mesure doit prendre effet dans six mois. »
La radio d’Etat donne ensuite évidemment la parole aux opposants, notamment :
« Côté démocrate, la majorité des candidats à l’investiture pour la présidentielle de 2020 ont dénoncé une atteinte au droit des femmes à disposer de leur corps [sic], ainsi qu’une attaque contre le fameux arrêt de la Cour suprême Roe v. Wade, qui a légalisé l’avortement en 1973 dans tous les Etats-Unis. »
Alors que tout le monde semble vénérer les sciences matérielles, comment peut-on encore dire que le bébé n’est qu’un morceau du corps de sa mère ?!
A tous points de vue, en particulier biologiquement, ce sont deux corps distincts, chacun disposant de son ADN.
La radio d’Etat, chez qui la pilule ne passe pas, multiplie les articles aux titres qui révèlent bien son engagement militant mortifère :