Ça promet.
Le voici recyclé, comme un bon cadre du Système, à la tête de la Cour des comptes, lui qui en matière économique (il fut ministre de l’Économie), a toujours été lamentable. Mais au moins il n’embêtera pas ceux qui l’ont nommé là, à propos des comptes dont ils sont responsables.
Pierre Moscovici est un vieil apparatchik socialiste, né de parents communistes juifs qui, à peine émigrés en France, ont cherché à la détruire par leur militantisme rouge.
Pierre fut toute sa vie politicien ou bureaucrate, selon les moments.
Cet homme très antipathique est un militant euro-mondialiste acharné, anti-national au possible ; il sévit en France même, en tant que député et ministre, pendant longtemps, avant de se retrouver en haut de la machine eurocratique comme commissaire à l’Economie.
Mais en plus de son idéologie odieuse, il faut signaler que l’homme est d’une incompétence crasse.
À la Commission européenne, Merkel, effarée par ce glandeur de compétition (qui n’a jamais vraiment travaillé, comme nous le laissions entendre), l’avait flanqué de deux adjoints allemands.