Le CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel) est un organisme de censure idéologique, arbitraire, dont la juridiction s’ajoute à celle des tribunaux. Il poursuit des objectifs politiques et traque les propos politiquement incorrects sur les ondes.
Chaque année il se plaint dans un rapport qu’il y ait trop de Blancs à la télévision française…
Il a infligé à Radio Courtoisie une amende de 25 000 euros (le maximum) car quelqu’un y avait dit simplement que « les races ne sont pas égales et ne peuvent pas l’être, car l’égalité n’est pas dans la nature ».
Il dénonce régulièrement des émissions qui n’auraient pas respecté les « valeurs républicaines »…
Il se permet de juger les « analyses » et ne tolère pas qu’elles divergent du politiquement correct.
Voici que « pour fêter les 30 ans du CSA, l’un de ses membres, Nicolas Curien, accompagné de son équipe, a choisi l’humour. Dans un clip à la réalisation maladroite, le fonctionnaire s’est glissé dans la peau d’un gendarme (CSA… gendarme de l’audiovisuel… vous l’avez ?) et donné de la voix sur sa version très personnelle de la chanson de Bourvil « La tactique du gendarme ». Le tout accompagné d’une chorégraphie… originale. »
Chez les téléspectateurs, la gêne le dispute au malaise.
Quand on pense que ce sont ces énergumènes qui scrutent les ondes pour traquer les propos non gauchistes à la radio, à la télévision et peut-être bientôt sur internet, et ensuite sanctionner…
Ici, le même dirigeant du CSA qui réclame de pouvoir « réguler » internet pour que ce qui s’y dise soit plus « convenable » (à 7 min 6) :