de Jacques Guillemain :
« […] Quand nos paysans produisent et vendent à perte, parce que les intermédiaires et la grande distribution sont toujours plus voraces, quand les prix au consommateur ne tiennent aucun compte des prix à la production, il ne faut pas s’étonner de la grande détresse qui gagne nos campagnes.
Selon la Mutuelle agricole, 40 % de nos paysans gagnent moins de 360 euros par mois.
En 10 ans, un tiers des exploitations a disparu.
En 10 ans, un tiers des exploitations a disparu.
Un agriculteur se suicide tous les deux jours dans l’indifférence générale, incapable de faire face à ses échéances de crédit.
25 000 agriculteurs sont en situation de quasi-faillite.
Les emprunts contractés pour les mises aux normes environnementales et sanitaires, exigées par Bruxelles, les ruinent et les pénalisent sur le marché mondial, où règne une concurrence déloyale. […]
Quant à la solitude qui les frappe, c’est un véritable fléau qui les mine. 25 % d’entre eux sont célibataires, soit le double de la moyenne nationale. […]
Combien de suicides évités si des dizaines de milliards n’étaient pas engloutis chaque année dans une immigration de miséreux incultes, totalement inutiles à une économie numérique ?
[voir ici par exemple : 2 milliards d’euros par an pour les « mineurs isolés »]
Il en arrive 400 par jour dans la clandestinité, allant s’entasser dans les bidonvilles qui fleurissent partout et détruisent le quotidien des riverains.
Sans parler de l’immigration légale qui explose chaque année en distribuant les visas sans compter.
Macron espère redresser la France en 3 ans. Il va la couler définitivement au nom du vivre-ensemble. »