Au programme, très clairement : délation par les citoyens, pression ou recours à la « justice » envers les hébergeurs et fournisseurs d’accès, et bien sûr, pour finir, plus de bourrage de crâne à la télévision et la radio.
Dans le Parisien :
« Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a formulé huit propositions pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme dans les médias audiovisuels dans un rapport remis fin janvier au Premier ministre François Fillon et mis en ligne lundi sur le site du CSA.
Concernant les services de médias audiovisuels à la demande (SMAD), le CSA préconise notamment la mise en place sur leurs sites d’un système d’alerte pour les utilisateurs afin de permettre un repérage des contenus à caractère raciste et un retrait de ceux-ci par l’éditeur. En cas d’insuffisance de cette autorégulation, le Conseil interviendrait pour sanctionner les éditeurs de SMAD.
Pour les SMAD extracommunautaires ne relevant pas de la compétence du Conseil, le CSA recommande que la loi lui permette de saisir l’autorité judiciaire afin qu’elle ordonne au fournisseur d’accès à internet de filtrer l’accès à ces sites.
Enfin, le Conseil «estime nécessaire de sensibiliser le grand public, en utilisant les médias de masse que sont la télévision et la radio, à l’importance de la lutte contre le racisme», conclut le rapport. »
C’est pas seulement un problème de liberté d’expression là, c’est un problème de liberté de penser!
pas étonnant avec tous les (censuré) qui peuplent e monde audiovisuel français