L’idéologie européiste, au-delà de ses tares intrinsèques, coûte une fortune au contribuable.
Bien que condamnés à moyen ou long terme, l’euro et l’UE sont maintenus à bout de bras par ceux qui en vivent et par divers lobbies.
On apprend maintenant que le sauvetage de l’euro a déjà coûté 1100 milliards.